Un itinéraire de 3 200 km à pied de Canterbury à Rome, puis s’achevant à Santa Maria di Leuca, qui exige des randonneurs quelques mois de leur temps libre pour être achevé dans son entièreté : la Via Francigena est un excellent exemple de ce que l’on appelle le « tourisme lent ».
C’est une opportunité pour un tourisme responsable qui priorise l’habitat local, permettant de vivre le paysage dans sa dimension la plus authentique, intégrant la lenteur des pas, la contemplation de ce qui nous entoure, l’appréciation de sa beauté et, parfois, exigeant un besoin de reconnaissance des impacts environnementaux et des défis soumis par nos sociétés.