Via Francigena

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“La Via Francigena m’a changé la vie. Au-delà de toutes attentes.”

Marco Rip, né Marco Turconi, a fait un choix radical : il a quitté le monde de la finance après avoir marché le long de la Via Francigena. Il le raconte dans un documentaire audio.

L’année 2020 était une course, mais aussi toute sa vie était en train de courir un peu. Arrivé, pour citer le grand poète, “au milieu du chemin” à ses trente-cinq ans. Un emploi dans le monde de la finance milanaise, le bureau à San Babila, le “col blanc”. Marco était au centre de la vie frénétique de la capitale lombarde, ayant atterri dans ce monde du travail après avoir laissé derrière lui des études en sciences humaines et quelques expériences dans le monde du théâtre social.

“Venant du troisième secteur, le fait d’atterrir dans le monde de la gestion d’actifs m’a immédiatement donné ce sentiment de structure qui me plaisait à ce moment-là, par rapport à l’environnement d’origine précédent. Mais au printemps dernier, au printemps 2020, j’ai commencé à ressentir un manque d’air. J’avais une sorte de sentiment d’identité non collée : bien que mon domaine soit celui de la “finance éthique” pour ainsi dire, je me suis retrouvé à faire du pur reporting et de la gestion de patrimoine. J’avais complètement perdu des morceaux de moi-même, comme ceux liés aux sons et à la musique”. Marco a toujours eu une passion pour le son et, dans ses temps libres, il travaille comme producteur de son, une activité qui a donné lieu à des collaborations dans le monde de la publicité. Mais rien de plus.

Finalement, ce manque d’air est devenu le préambule de l’asphyxie et il a donc décidé de tout abandonner. “Comme sur un coup de folie, en 2020, au milieu de la pandémie et de l’incertitude, j’ai pensé à abandonner un emploi sûr. Ils m’ont fait une contre-offre, une période disponibilité. J’ai accepté”. Et il a pensé à partir, le long de la Via Francigena. Il a voyagé de Fiorenzuola à Rome.

 

Panneau indicateur le long de la Via Francigena

Et c’est justement l’attente qui était au centre de son idée de partir. Attente qui, quelques semaines plus tard, au moment du départ, a décliné en quatre sens : il y avait l’attente du travail, celle du voyage qu’il allait entreprendre, celle des personnes qui le regardaient pour comprendre ce qu’il avait mis dans sa tête, et celle de sa vie d’après. C’est-à-dire de ce qui viendrait après le voyage, une fois l’expérience terminée. Attente qui donnerait alors aussi le titre à son récit audio consacré à la Via Francigena et qu’il intitulerait, précisément, “Au-delà de toutes les attentes“.

Cette expérience se devait d’être vécue : “J’avais besoin d’un effort physique et mental – nous dit Marco – et la marche était ce dont j’avais besoin. Je pensais que je serais absent pendant quelques semaines, mais au lieu de cela j’ai marché pendant un mois”. Nous lui demandons pourquoi la marche a changé sa vie. “Cela m’a donné confiance en moi. La confiance que la marche vous injecte parce que vous la ressentez physiquement : votre corps devient chaque jour plus fort et cela se répercute sur votre esprit. Je n’avais pas eu l’impression de pouvoir dire “je crois en moi” depuis tant d’années. J’ai redécouvert une relation avec la nature que j’avais négligée et je l’ai revécue dans une dimension qui m’est propre. Sur la route, j’ai donc pensé à réaliser le documentaire audio, qui est ensuite devenu le vecteur de ma nouvelle vie professionnelle”.

Le fleuve Elsa, dans un passage de la Via Francigena en Toscane (SI)

Oui, car les sons, qui l’ont toujours fasciné, l’avaient poussé à mettre dans son sac à dos (où tout le monde – comme on le sait – a tendance à ne mettre que le plus essentiel, sachant qu’il faut le porter pendant des jours et des centaines de kilomètres) un “Zoom” : un microphone portable professionnel.  Pour lui, c’était un des éléments essentiels, et cela seul aurait dû lui faire comprendre beaucoup de choses.  “La Via Francigena est un entrelacement de tissus, d’histoires et de rencontres que j’ai immédiatement senti résonner dans mon cœur. Un chemin qui, s’il est abordé de la bonne manière (ce qui pour moi était seul et à pied), a la puissance de jouer des accords qui n’ont pas sonné depuis longtemps, d’une manière différente pour chacun d’entre nous.  Et pour tous ceux qui le font”.

Alors, tout d’un coup, il a décidé qu’il devait commencer à enregistrer. Les rencontres, les sons, les voix. Et en faire un journal intime. Un journal intime à écouter, un récit sonore du voyage. Les gens qu’il a impliqués sur le chemin ont réagi avec beaucoup d’enthousiasme “avec une acceptation totale et le désir de participer à la chose, comme cela se passe sur le chemin : il y a une ouverture d’esprit incroyable. Quiconque a une histoire intéressante à raconter vous implique et vous la vivez comme une éponge. On se contacte tous, on marche et on se raconte”.

Marco a maintenant de nombreux projets de travail, tous liés au monde du son. De la production de documentaires audio (qui verront ensuite le jour sous forme de podcasts), à certains concours dans le domaine, à la musique. Il fera partie d’un grand projet européen “End Climate Change, Start Climate of Change” promu par l’ONG WeWorld sur le changement climatique. Il le fera en tant que musicien et montera sur scène avec la compagnie de cirque contemporain “MagdaClan”.

Marco Rip au travail, en train de “capturer” les sons

L’année écoulée a été particulièrement importante pour lui. Outre le changement radical de son activité, c’était aussi le dixième anniversaire de la mort d’un de ses meilleurs amis. Le genre d’anniversaires qui prennent une signification particulière sur la route, parce que “Marcher vous fait prendre conscience de ce que vous pensez et de ce que vous ressentez“. Au cours du voyage, vous sentez les personnes que vous avez perdues près de vous, comme me l’a dit quelqu’un qui, comme moi, portait un être cher. Au cours du voyage, on pleure beaucoup, on jette, on enlève ses fardeaux, on trouve une belle interconnexion émotionnelle. On apprend à vivre mieux“.

Au-delà de toutes les attentes” a été diffusé sur la Rai RadioTre, dans le cadre du programme “Tre Soldi” et est disponible sur la chaîne en ligne Rai Play. Il est divisé en trois épisodes et nous vous recommandons de l’écouter en cliquant ici.

 

Crédit photo Marco Rip

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Una tesi di laurea sulla tendenza a ripetere l’esperienza del pellegrinaggio e l’impatto di questo sui territori: il lavoro di Sara Stefanelli

Sara Stefanelli ha 24 anni, è di Milano, lavora come consulente della pubblica amministrazione nella gestione dei fondi comunitari europei per lo sviluppo regionale. Ha studiato, nel suo percorso di laurea triennale e magistrale, economia e management per l’arte, la cultura e la comunicazione. Ha conseguito la sua seconda laurea con la tesi “Analisi della Formazione della Loyalty nell’Ambito delle Esperienze delle Vie di Pellegrinaggio: Variazione nelle Motivazioni”“. Si racconta ad AEVF.

“Mi piace definirmi come “nomade e cosmopolita”, caratteri che derivano in parte della mia storia personale – i miei genitori sono salentini, io sono nata a Roma e ho vissuto a Firenze, prima di arrivare a Milano – e in parte per le mie esperienze di vita e di studio all’estero, che mi hanno portato a vivere in quattro diversi paesi. Sono da sempre appassionata di arte, di cultura in senso più ampio, e di valorizzazione del territorio tramite questa, e in futuro mi piacerebbe lavorare nell’ambito della consulenza nel settore culturale. 
 
Da diversi anni sono una pellegrina, ho infatti percorso diversi tratti della Via Francigena in Italia, il Cammino di Santiago e la Via Amerina in Umbria. Circa un anno fa ho conseguito la laurea specialistica in “Economics and Management for Art, Culture, Media and Entertainment” presso l’Università Luigi Bocconi di Milano, con una tesi dal titolo “Examining Loyalty Formation in Pilgrimage Routes Experiences: a Variation in Motivations”.
 
 

 

L’idea per il mio lavoro di ricerca nasce dall’esperienza di pellegrinaggio sul Cammino di Santiago, in cui osservando i territori attraversati mi sono resa conto dell’impatto che la presenza del cammino ha su di essi. Paesi che altrimenti sarebbero soggetti a spopolamento e conseguente scomparsa sopravvivono invece grazie alla presenza stessa del cammino, che porta ogni anno sul territorio migliaia di visitatori. Ho quindi ragionato sul potenziale impatto che la Via Francigena potrebbe avere sul nostro territorio – fortemente soggetto a un grande fenomeno di urbanizzazione, spopolamento e abbandono dei piccoli centri – e sulla conseguente necessità di valorizzazione delle diverse Vie italiane.
 
Ho inoltre osservato attraverso le persone che mi circondavano durante il cammino, una forte tendenza a ripetere l’esperienza di pellegrinaggio una volta che questa è stata vissuta un prima volta. Questo fenomeno di “necessità del cammino” (loyalty) che si alimenta durante la prima esperienza è elemento fondamentale sul potenziale impatto che la valorizzazione delle vie potrebbe avere sul nostro territorio, ciò considerando soprattutto che la percorrenza delle vie italiane raramente rappresenta una prima esperienza, ma piuttosto una ripetizione dell’esperienza del pellegrinaggio.
 
Per poter meglio delineare le modalità di valorizzazione da applicare sul territorio in funzione delle motivazioni che portano a camminare, ho quindi tentato nel mio lavoro di spiegare la loyalty nel settore delle vie di pellegrinaggio, tramite lo studio della sua correlazione con altre variabili, nello specifico la soddisfazione generata dall’aver vissuto una prima esperienza di cammino e le motivazioni che spingono a camminare, attraverso una raccolta dati diretta.  In particolare, ho studiato la presenza di una variazione tra le motivazioni che portano le persone a percorrere una prima volta una via di pellegrinaggio (tendenzialmente il Cammino di Santiago) rispetto a quelle che invece portano a ripetere l’esperienza (solitamente più legate al tema della natura, dell’esperienza all’aperto e dell’atmosfera del cammino). Una volta delineati questi aspetti è infatti più semplice individuare su quali aspetti di gestione del territorio e di comunicazione sarà necessario lavorare per poter valorizzare le Vie di pellegrinaggio italiane, maggiori e minori.”
  

 

Di seguito l’incipit dell’Abstract: 
 
“Attraversando il paese di Gonzar, a meno di 100 km da Santiago de Compostela, con il fisico affaticato e la mente densa di emozioni, non è possibile non rimanere stupiti nell’osservare gli effetti che ha il Cammino sul territorio che attraversa. Paesi che altrimenti smetterebbero di esistere, sopravvivono invece grazie alla presenza del Cammino. È immediato poi il collegamento con le particolarità del nostro paese, l’Italia, caratterizzato da una fitta costellazione di piccoli paesini, gioielli del nostro territorio, ma oggigiorno soggetti a forte spopolamento, invecchiamento della popolazione e abbandono, con conseguente scomparsa nel tempo.

Da questa osservazione risulta quindi chiaramente evidente la possibilità di valorizzare il nostro territorio tramite la gestione e lo sviluppo dei cammini che lo attraversano, prima fra tutte la Via Francigena, nelle sue varianti del Nord e del Sud. 

Altro elemento osservabile lungo il Cammino di Santiago, in particolare attraverso un confronto con le persone che lo percorrono, è una certa tendenza a ripetere l’esperienza del pellegrinaggio una volta che questa è stata vissuta una prima volta. La maggior parte dei pellegrini sono infatti abitudinari a questo tipo di esperienza, avendola ripetuta più e più volte, in località e con varianti diverse. Si può quindi affermare che questi soggetti abbiano sviluppato quella che in termini tecnici si definisce, loyalty, fidelizzazione alle esperienze di Vie di pellegrinaggio. Elemento ancora più particolare osservato, è che la tendenza a ripetere queste successive esperienze è guidata spesso da motivazioni diverse rispetto a quelle che portano a percorrere il pellegrinaggio una prima volta, come se quindi queste fossero oggetto di una variazione, conseguenza della consapevolezza dell’esperienza.

 È da questi due punti fondamentali che parte il lavoro di ricerca, oggetto della tesi di laurea magistrale in Economics and Management in Arts, Culture, Media and Entertainment, dal titolo: “Examining Loyalty Formation in Pilgrimage Routes Experiences: a Variation in Motivations” (“Analisi della Formazione della Loyalty nell’Ambito delle Esperienze delle Vie di Pellegrinaggio: una Variazione nelle Motivazioni”).

Poiché infatti la Via Francigena rappresenta classicamente una ripetizione dell’esperienza del pellegrinaggio – ciò dovuto ad una popolarità più ampia e ad un maggiore sviluppo a livello internazionale del Cammino di Santiago – per una sua corretta gestione, è fondamentale comprendere cosa porti le persone a ripetere questo tipo di esperienza e in particolare, quali siano le motivazioni driver di questa scelta. Risulta infatti di estrema importanza cercare di analizzare questi aspetti, in modo da poter meglio comprendere come gestire e valorizzare in generale le vie di pellegrinaggio, in particolare in questo caso la Via Francigena, delineando aspetti gestionali e di comunicazione più efficienti ed efficaci nel compito di soddisfare ed attrarre i pellegrini. Inoltre, questa valorizzazione della Via porta con sé tutta una serie di conseguenze positive sul territorio che attraversa, sia a livello sociale, che economico e culturale, rendendo ancora più evidente la necessità di conoscere gli aspetti qui delineati.

L’obiettivo della presente ricerca è quindi quello di cercare di comprendere le fasi del processo che porta alla fidelizzazione a questo tipo di esperienze e quali siano gli elementi che spingono gli individui a viverle e a ripeterle.

Dopo aver collocato il tema nel macro-ambito del turismo culturale e in particolare degli itinerari culturali, con tutte le caratteristiche e le conseguenze ad esso connesse, e dopo aver compiuto una revisione della letteratura precedente in tema di studio della formazione della loyalty nel generico ambito delle esperienze – poiché questa tematica non era stata precedentemente trattata nello specifico campo degli itinerari culturali e delle Vie di Pellegrinaggio – l’impostazione della ricerca si compone di tre fasi, ovvero:

  • una prima definizione di un modello per spiegare la formazione della loyalty nel settore di riferimento sulla base della revisione della letteratura precedente;
  • un’analisi esplorativa del fenomeno per comprendere la coerenza del modello precedentemente definito rispetto al settore e per revisionarlo di conseguenza – si definiscono inoltre in questa fase  gli strumenti per la raccolta dati e per la verifica di tale modello;
  • un’analisi statistica per poter verificare la significatività del modello ipotizzato e quindi la sua validità e le sue conseguenze in termini di valorizzazione e gestione del territorio.

Non possiamo che ringraziare Sara Stefanelli per la passione e l’impegno messo nella realizzazione di questo lavoro di rcerca,  che ha per obiettivo ciò che anche noi, come Associazione Europea delle Vie Francigene, abbiamo di più caro: la promozione e lo sviluppo sostenibile dei territori che la nostra Via attraversa. Buon cammino! 

 
L’Abstract della tesi nella sua interezza è consultabile cliccando qui
Per maggiori informazioni Sara Stefanelli: sarastefanelli@hotmail.com
 
Credit Photo Sara Stefanelli
 

 

 

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“Examining Loyalty Formation in Pilgrimage Routes Experiences: a Variation in Motivations” – an MA thesis by Sara Stefanelli

Sara Stefanelli is 24 years old, she lives in Milan, and she works as a consultant for the public administration managing European funds for regional development. She did her bachelor’s and master’s degree in Economics and Management for Art, Culture and Communication. For the latter she wrote a thesis entitled “Examining Loyalty Formation in Pilgrimage Routes Experiences: a Variation in Motivations“. Below is her story.

“I like to define myself as a “nomad and cosmopolitan“, partly because of my personal history – my parents are from Salento, I was born in Rome, and I lived in Florence before moving to Milan – and partly because of my life experiences and studies abroad, which led me to live in four different countries. I have always been passionate about art and culture in a broader sense, and the way they help to improve their surrounding territory, and in the future I would like to work as a consultant in the cultural sector.

For several years now I have also been a pilgrim, in fact I have traveled several stretches of the Via Francigena in Italy, the Camino de Santiago and the Via Amerina in Umbria. About a year ago I graduated in “Economics and Management for Art, Culture, Media and Entertainment” from the Luigi Bocconi University in Milan, with a thesis entitled “Examining Loyalty Formation in Pilgrimage Routes Experiences: a Variation in Motivations“.

 

The idea for my research comes from my pilgrimage experience on the Camino de Santiago. In observing the territories I passed through, I realised the impact that the presence of the path has on them. Towns that would otherwise be subject to depopulation and subsequent disappearance survive thanks to the presence of the path itself, which brings thousands of visitors to the area each year. I therefore reasoned about the potential impact that the Via Francigena could have on our territory – strongly subject to a great phenomenon of urbanization, depopulation, and abandonment of small towns – and the subsequent need to improve the various Italian routes.

I also noticed that many people who surrounded me during the journey, developed a strong tendency to repeat their pilgrimage experience once they finished it for the first time. This phenomenon of “necessity of the journey” (loyalty) that is nourished during the first experience is a fundamental element for the potential impact that the improvement of the routes could have on our territory. Especially considering that for many people who walk the Italian routes it rarely is a first time, but rather a repetition of a previous pilgrimage experience.

To better outline the improvements that can be applied to the territory according to the motivations that lead to walking, in my work I tried to explain the concept of loyalty in the sector of pilgrimage routes by studying its correlation with other variables, specifically the satisfaction generated by a first pilgrimage experience and the motivations that push us to walk, through direct data collection. In particular, I studied the presence of a variation between the reasons that lead people to travel along a pilgrimage route for the first time (Camino de Santiago) compared to those that choose to repeat their experience (usually more related to nature, the outdoor experience and the atmosphere of the walk). Once these aspects are outlined, it is in fact easier to identify which aspects of territorial management and communication will need to be worked on in order to enhance both major as well as minor Italian pilgrimage routes.”

The thesis abstract starts as follows:

“Crossing the village of Gonzar, less than 100 km from Santiago de Compostela, with a tired body and a mind full of emotions, it is impossible not to be amazed by the effect the Camino has on the surrounding territories. Towns that would otherwise cease to exist, instead survive thanks to the presence of the Camino. The situation is very similar in our own country, Italy, which is characterized by a dense network of small villages, the little gems of our territory. Today unfortunately many of these towns are subject to strong depopulation, aging of the population and abandonment, with consequent disappearance over time.
This observation shows how important it is to improve our territory through the management and development of the paths that cross it, starting with the Via Francigena.

Another element that can be observed along the Camino de Santiago, in particular through the people who travel it, is a certain tendency to repeat the pilgrimage experience after finishing it the first time. Most of the pilgrims are in fact accustomed to this type of experience, having repeated it over and over again, in different locations and with different variations. It can therefore be said that these subjects have developed what in technical terms is defined, loyalty. Loyalty to the experiences of pilgrimage routes. An even more particular observation is that the tendency to repeat these experiences is often driven by different reasons than those of the first time, as if they were therefore subject to a variation, a consequence of the awareness of the experience.

It is from these two fundamental points that the research starts, subject of the master’s thesis in Economics and Management in Arts, Culture, Media and Entertainment, entitled: “Examining Loyalty Formation in Pilgrimage Routes Experiences: a Variation in Motivations“.

In fact, since the Via Francigena represents a repetition of the pilgrimage experience – this is due to a wider popularity and a greater international development of the Camino de Santiago – for its correct management, it is essential to understand what leads people to repeat this type of experience and in particular, what are the driving reasons for this choice. In fact, it is extremely important to try to analyse these aspects to better understand how to manage and improve the pilgrimage routes in general, in particular in this case the Via Francigena, outlining more efficient and effective management and communication aspects to satisfy and attract pilgrims. Furthermore, the improvement of the Via brings with it a whole series of positive consequences for the surrounding territories, both at a social, economic and cultural level, making the need to know the aspects outlined here even more evident.

The goal of this research is to try to understand the stages of the process leading to loyalty for this type of experience and what the elements are that drive individuals to repeat them.

After a review of previous literature on the study of loyalty, the research consists of three phases, namely:

 

  • an initial definition of a model explaining the formation of loyalty in the reference sector based on the review of previous literature;
  • an exploratory analysis of the phenomenon to understand the consistency of the previously defined model with respect to the sector and to revise it accordingly – the tools for data collection and verification of this model are also defined at this stage;
  • a statistical analysis to verify the significance of the hypothesized model and therefore its validity and its consequences in terms of improvement and management of the territory.

 

We cannot but thank Sara Stefanelli for the passion and commitment that she has put into this research work, which aims at what we, as the European Association of the Vie Francigene, hold dearest: the promotion and sustainable development of territories that our Via crosses. Buon cammino!

The abstract of the thesis in its entirety can be consulted by clicking here.
For more information you can contact Sara Stefanelli at sarastefanelli@hotmail.com

Photo credits: Sara Stefanelli

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«La via Francigena: storie e leggende per piccoli pellegrini», passeggiata urbana per bambini

PIACENZA – Venerdì 12 febbraio ‘21 alle ore 16.30  passeggiata urbane per i più piccoli, percorsi tematici per scoprire – divertendosi – storia e curiosità della città In ottemperanza alle prescrizioni dell’attuale DPCM, la Cultura resiste e prosegue con alcune proposte in esterno organizzate da Cooltour s.c. in collaborazione con il Museo Kronos.

I partecipanti si trasformeranno in piccoli pellegrini per scoprire l’antica via Francigena Insieme ad un accompagnatore, scopriranno chi erano i pellegrini, come si potevano riconoscere e, sui loro passi, ascolteranno leggende, storie e curiosità legate ad alcuni edifici che si trovano sul loro cammino a Piacenza. Quante cose da scoprire!

L’evento si svolgerà in sicurezza, con partecipazione contingentata, uso obbligatorio della mascherina e distanza interpersonale di sicurezza da rispettare.

È obbligatoria la prenotazione a cattedralepiacenza@gmail.com (canale preferenziale) o al numero 331 4606435. La quota di partecipazione è di € 5 a persona. I bambini devono essere accompagnati da un adulto. Attivazione a raggiungimento del numero minimo di adesioni.

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AEVF compie vent’anni: nel logo compare “Road to Rome”

In gergo si chiama pay off: è quella frase breve, concisa, immediata che accompagna e in qualche modo “spiega” il marchio. Quello della Via Francigena non poteva che essere “Road to Rome“.

E quale occasione migliore per l’ufficializzazione del pay off dell’Associazione Europea delle Vie Francigene se non il suo XX anniversario? Sì perchè nel 2021 AEVF spegnerà venti candeline durante il party più lungo, temporalmente e geograficamente, mai realizzato. E che si chiama, guarda caso, “Road to Rome 2021“: la grande marcia da Canterbury a Roma, e da Roma a Santa Maria di Leuca, che partirà a fine primavera 2021 per terminare all’inizio dell’autunno

Il pay off “Road to Rome” è stato così ufficializzato ed inserito all’interno del logo dell’associazione. Incorporare nel logo ufficiale la scritta “road to Rome” significa soprattutto mettere in connessione diretta l’itinerario culturale della Via Francigena con la sua meta, Roma appunto. Via Francigena e Roma si “fondono” dunque insieme, sulle tracce degli antichi viandanti che sempre più numerosi arrivano alla Città Eterna da tutto il mondo seguendo le tracce di Sigerico.

Un riconoscimento formale di un processo iniziato mesi prima, che ha trovato il suo sviluppo più recente anche e soprattutto nel mondo dei social, dove ormai impazza – sulle fotografie e i post che riguardano la Via Francigena – l‘hashtag #roadtorome. Perché a differenza di vent’anni fa, quando nemmeno esistevano i social, oggi la Via è una dei più importanti protagonisti nel mondo virtuale dedicato ai cammini, con quasi 60’000 followers sulla Pagina Facebook, 13’000 su Instagram, 2’000 su Twitter.

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EAVF turns 20: “Road to Rome” is added to the official logo

In jargon it is called a “pay off”: it is that short, concise, recognisable slogan that accompanies and somehow “explains” a brand. For the Via Francigena it goes without saying that the only truly fitting pay off had to be “Road to Rome“.

And what better occasion to make this pay off official than the 20th anniversary of EAVF?! Because yes, in 2021 EAVF will be able to blow out twenty candles during the longest party, both temporally as well as geographically, ever made. This also coincides with the “Road to Rome 2021” event: a 4-month long march from Canterbury to Rome, and from Rome to Santa Maria di Leuca, which will start in June and end in October.

The pay off “Road to Rome” was thus formalized and added to the association’s logo. Incorporating the words “road to Rome” into the official logo means above all connecting the cultural itinerary of the Via Francigena with its destination, Rome. The Via Francigena and Rome therefore “merge” together, a testimonial of ancient and present-day wayfarers who increasingly flock to the Eternal City from all over the world following in Sigeric’s footsteps.

A formal recognition of a process that began months ago, which found its most recent development also and above all on social media, where the hashtag #roadtorome is being increasingly used in posts and photographs about the Via Francigena. Because unlike twenty years ago, when social networks did not even exist, today the Via is one of the most important players in the digital world dedicated to walking, reaching 60.000 followers on the Facebook page, 13.000 on Instagram, and 2.000 on Twitter.

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L’AEVF fête ses 20 ans:”Road to Rome” apparaît dans le logo

Dans le jargon, on l’appelle slogan : c’est cette phrase courte, concise et immédiate qui accompagne et, d’une certaine manière, “explique” la marque. La marque de la Via Francigena ne pouvait être que “Road to Rome“.

Et quelle meilleure occasion que le 20ème anniversaire de l’Association Européenne des Chemins de la Vie Francigena pour rendre officiel le nouveau logo? Oui, car en 2021, l’AEVF soufflera ses vingt bougies lors de la fête la plus longue, temporellement et géographiquement, jamais réalisée. Et elle est appelée, par coïncidence, “Road to Rome 2021” : la grande marche de Canterbury à Rome, et de Rome à Santa Maria di Leuca, qui commencera à la fin du printemps 2021 et se terminera au début de l’automne.

Le slogan “Road to Rome” a donc été officialisé et inclus dans le logo de l’association. Intégrer les mots “Road to Rome” dans le logo officiel signifie avant tout relier directement l’itinéraire culturel de la Via Francigena à sa destination, Rome. La Via Francigena et Rome ont donc “fusionnés” ensemble, sur les traces des voyageurs qui arrivent en nombre croissant dans la Ville éternelle en provenance du monde entier sur les traces de Sigéric.

C’est la reconnaissance formelle d’un processus qui a commencé des mois plus tôt, et qui a trouvé son développement récent aussi et surtout dans l’univers des réseaux sociaux, où l’hashtag #roadtorome fait maintenant fureur sur les photos et les posts concernant la Via Francigena. Car contrairement à il y a vingt ans, lorsque les réseaux sociaux n’existaient même pas, aujourd’hui la Via est l’un des plus important acteur du monde virtuel dédié à la Via Francigena, avec près de 60 000 abonnés sur sa page Facebook, 13 000 sur Instagram et 2 000 sur Twitter.

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La Via Francigena partecipa alla riunione del Ministero della cultura francese sugli itinerari culturali

Il 2 febbraio il Ministero della Cultura francese ha invitato gli Itinerari culturali del Consiglio d’Europa con sede in Francia ad una importante riunione in videoconferenza presieduta dal capo dipartimento Bruno Favel e dal responsabile della cultura e del turismo Nicolas Monquaut. Ha partecipato anche Stefano Dominioni, Direttore dell’Istituto degli Itinerari Culturali del Consiglio d’Europa.

L’ incontro si è focalizzato sulle strategie legate al turismo sostenibile e lo sviluppo degli itinerari culturali che attraversano la Francia, uno dei paesi con il maggior numero di itinerari certificati. La Francia è da sempre molto legata a questo Programma del Consiglio d’Europa, lanciato nel 1987. Gli  itinerari vanno intesi non solo come percorsi turistici: essi rappresentano sono una risorsa fondamentale per l’attrattività dei territori, il turismo culturale responsabile e lo sviluppo sostenibile.

La riunione con il ministero ha gettato le basi della discussione per definire le azioni comuni in merito a queste tematiche per i prossimi due anni. Un gruppo di lavoro si riunirà a breve per definire più precisamente questi obiettivi strategici, anche attraverso il coinvolgimento di alcuni rappresentanti di itinerari culturali. L’AEVF ha partecipato all’incontro con la sua vicepresidente Martine Gautheron, il direttore Luca Bruschi e con il nuovo responsabile dello sviluppo per la Francia/Svizzera Jacques Chevin.

Questo scambio è stato altresì l’occasione per presentare e a far conoscere ad altri itinerari culturali, nonché al Ministero, l’evento “Via Francigena”. Road to Rome 2021” in programma da giugno a ottobre di quest’anno tra Canterbury, Roma e Santa Maria di Leuca. Una iniziativa che potrà mettere in rete gli itinerari culturali che attraversano i comuni lungo il percorso!

 

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The Via Francigena participates in the meeting of the French Ministry of Culture about cultural itineraries

On February 2, the French Ministry of Culture invited the Cultural Routes of the Council of Europe based in France to participate in an important videoconference chaired by the Head of Department Bruno Favel and by the Head of Culture and Tourism Nicolas Monquaut. The Director of the European Institute of Cultural Routes, Stefano Dominioni, also participated.

The meeting focused on sustainable tourism strategies and the development of cultural itineraries that cross France, one of the countries with the largest number of certified itineraries. France has always been closely connected with the Council of Europe Program, which was launched back in 1987. The itineraries featured in the Program should not be considered only as tourist routes: they also represent a fundamental resource for the attractiveness of the territories, for responsible cultural tourism and sustainable development.

The meeting with the ministry laid the foundations for the discussion aimed at defining common actions for the upcoming two years. A working group will be meeting in the near future to define these strategic objectives more precisely, involving some representatives of cultural itineraries as well.
Attending the meeting on EAVF’s behalf was vice president Martine Gautheron, director Luca Bruschi, and the new head of development for France/Switzerland, Jacques Chevin.

The meeting was also a good occasion to present our upcoming “Road to Rome 2021” event to the French Ministry and the other cultural itineraries. “Road to Rome 2021” is scheduled to take place from June to October this year between Canterbury, Rome and Santa Maria di Leuca.
The initiative will be a golden opportunity to create a network of cultural itineraries that cross all the municipalities along the way!

 

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La Via Francigena participe à la réunion du ministère de la Culture français avec les itinéraires culturels

Le 2 février 2021, le Ministère de la Culture française a invité les itinéraires culturels du Conseil de l’Europe basé en France à participer à une réunion en visioconférence présidée par le chef du département Bruno Favel et le chargé de mission Culture et Tourisme Nicolas Monquaut. Stefano Dominioni, directeur de l’Institut des Itinéraires Culturels du Conseil de l’Europe, participait également.

Cette réunion avait pour sujet le développement de la filière tourisme durable et les itinéraires culturels qui traversent la France, un de pays qui a le plus grand nombre d’ itinéraires certifiés. La France est très attachée à ce Programme phare du Conseil de l’Europe. Ces itinéraires ne sont pas seulement des itinéraires touristiques, ils sont une ressource clé pour l’attractivité des territoires, le tourisme responsable et le développement durable.

La réunion avec le Ministère avait aussi pour objectif de définir des actions communes pour les deux prochaines années.

A l’issue de cette rencontre un groupe de travail se réunira pour définir plus précisément ces objectifs. L’AEVF a été représenté par sa Vice-présidente Martine Gautheron, son directeur Luca Bruschi et son nouveau chargé de développement France/Suisse Jacques Chevin

Cet echange a été l’opportunité de faire connaître aux autres itinéraires culturels l’évènement «Via Francigena. Road to Rome 2021 » programmé de juin à octobre cette année entre Canterbury, Rome et Santa Maria di Leuca (Pouilles). Il s’agit d’un événement qui pourra mettre en réseau les itinéraires culturels qui croisent les communes le long du chemin.