Via Francigena

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Andrea Devicenzi, the paralympic athlete on the road along the Francigena

After his experience along the Way of St. Francis in 2018, the Paralympic athlete, Andrea Devicenzi, is ready to get back on the road.

On Thursday 14th March Andrea will begin his new adventure along the Via Francigena starting in Aosta. A journey of 44 days, from March to December, 4/5 days at a time that will take him to Rome.

I am a proud supporter of our countries beauty, so this year I’m staying on a national path that passes close to my house – the athlete and mental coach tells us, who today lives in Martignana di Po, a small town in the province of Cremona – I will follow the route to highlight one of the aspects for which I took on the journey: the sharing of stories. My story is impressive but it’s one of many. “

Accept the unexpected, learn to distinguish between superfluous and necessary, do not run: the values ​​of the journey are the same as those the athlete has come to know. At the age of 17, due to a motorbike accident, Andrea lost his left leg. A dramatic event that he overcame thanks to the sport with which he achieved important goals both in sporting and working sectors.

In 2007 I started the competitive activity of Paralympic cycling; accepting new challenges, each time more and more important – Andrea recounts – It took a lot of resilience to conquer the 5,602 metres of the KardlungLa in India, but I understood that the flame inside me had been lit and in these years I wanted to feed it through passion, perseverance, love for myself and those close to me“.

Since then, Andrea has been enriched by record-breaking experiences: in 2011 he participated in the Paris/Brest/Paris event, the first amputee in history to conclude the 1,230km event in 72 hours and 42 minutes. In 2016 he faces a 26-day trip to Peru completely alone for the first time; 1,150 kilometres by bike on the Pan-American road and 4 days of Inca Trail trekking to reach the Machu Picchu archaeological site. In 2017, along with his friend Massimo Spagnoli, he undertook a journey of over 11,000 kilometers, crossing 17 states of Europe to reach the North Cape in Norway after 11 days.

In 2018 I set myself one of the most complex goals of my whole career, the Way of Francis, 500 kilometers in maximum 24 days that I will be able to finish in September after 22 days“. For now, he’s on the Francigena.

What do you expect from this journey?I have a very high expectation. Last year in 500km the landscapes changed, but this year we’re going from the Aosta Valley to Tuscany to Lazio. Travelling from March to December, this path will give people the opportunity to be by my side; there will be many moments of sharing and listening. Simone Pinzolo, who accompanied me most of the way last year, will also come with me, as well as Linda La Rosa. The section I can’t wait to cover? Certainly the Passo della Cisa, I’ve done it by motorbike, by car, with my friends and by bike. Getting there on foot is something I wouldn’t have imagined”.

The route in solidarity, Andrea’s adventure will also be accompanied by fundraising for ‘il sorriso di Mietta Onlus’. Not only that, there will be another important scientific project that will be revealed later.

With my leg, one step at a time, the goal will be to slow down, to breathe and admire what I’ll have around me, in every moment of the journey. Share, listen and learn from the people I meet during these 1,000 kilometres of the Via Francigena”.

Andrea’s video message published on the Via Francigena Facebook page

 

The journey is about to begin. Andrea will tell his story through social media on pages, such as his Facebook page “Viaggi in gamba” and online with Radio Francigena. The European Association of Via Francigena Ways (EAVF), who supported the initiative, will follow the athlete’s adventure with updates and posts online.

 To follow Andrea, download the attached pdf with his route.

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Andrea Devicenzi, l’athlète paralympique en chemin le long de la Francigena

Après l’expérience du Chemin de San Francesco en 2018, l’athlète paralympique Andrea Devicenzi est prêt à se remettre en voyage.

Jeudi 4 mars, Andrea commencera sa nouvelle aventure le long de la Via Francigena en partant d’Aoste. Un chemin de 44 jours, entre mars et décembre, au rythme de 4/5 jours à la fois, qui le conduira jusqu’à Rome.

« Je suis un fervent supporteur des beautés de notre pays, donc cette année aussi je reste sur un chemin national qui passe à côté de chez moi – nous raconte l’athlète et mental coach qui aujourd’hui vit à Martignana di Po, une petite ville en province de Crémone – Je le parcourrai en différentes étapes pour souligner un des aspects pour lesquels je me suis lancé dans le chemin, le partage des histoires. Mon histoire est frappante mais c’est une parmi tant d’autres ».

Accepter les imprévus, apprendre à distinguer le superflu du nécessaire, ne pas courir : les valeurs du chemin sont toujours les mêmes que l’athlète a appris à connaitre tôt. À l’âge de 17ans, à cause d’un accident de la route en moto, Andrea a perdu la jambe gauche. Un évènement dramatique dépassé grâce au sport qui lui a permis d’atteindre des objectifs autant sportifs que professionnels.

« En 2007, j’ai commencé une activité compétitive dans le cyclisme paralympique en acceptant de nouveaux défis, chaque fois plus importants – raconte Andrea – il a fallu beaucoup de résistance pour conquérir les 5.602 mètres du KardlungLa en Inde mais je savais que désormais ma flamme intérieure s’était allumée et durant ces années, j’ai voulu l’alimenter à travers la passion, la constance, l’amour propre et l’amour pour mes proches ».

Depuis, le CV d’Andrea s’est enrichi d’expériences records : en 2011, il a participé à Paris/Brest/Paris, premier unijambiste de l’histoire à conclure l’évènement de 1.230 km en 72h et 42 minutes. En 2016, il s’attaque, pour la première fois en totale autonomie, à un voyage de 26 jours au Pérou ; 1.150 km en vélo sur la route Panamericana et 4 jours de randonnée de l’Inca Trail pour rejoindre le site archéologique du Machu Picchu. En 2017, avec son ami Massimo Spagnoli, ils traversent 17 États d’Europe, lors d’un voyage de plus de 11.000 km, pour rejoindre après 11 jours Capo Nord en Norvège.

« En 2018, je me suis posé un des objectifs les plus complexes de ma carrière, le Chemin de la Via di Francesco, 500 km à parcourir en maximum 24 jours, que j’ai terminé en septembre après 22 jours ». Maintenant il y a la Francigena.

Qu’est-ce-que tu attends de ce chemin ? « J’attends beaucoup. L’année dernière, en 500 km les paysages ont changé, mais cette année je passe de la Vallée d’Aoste à la Toscane au Latium. En le parcourant entre mars et décembre, ce chemin donnera la possibilité à ceux qui voudront de m’accompagner, il y aura de nombreux moments de partage et d’écoute. Simone Pinzolo, qui m’a accompagné durant une grande partie du chemin l’année dernière, et Linda La Rosa viendront avec moi ». Quel tronçon es-tu pressé de parcourir ? « Sûrement le Col de la Cisa, je l’ai parcouru dans le passé en moto, en voiture avec les amis et en vélo. Y arriver à pied est une des choses que je n’aurais jamais imaginées ».

Chemin et solidarité, l’aventure d’Andrea sera accompagnée d’une collecte de fonds pour l’association il sorriso di Mietta Onlus. Mais pas seulement, il y aura un autre important projet scientifique qui sera révélé par la suite.

« Avec ma jambe, un pas après l’autre, la progression sera ralentir, respirer et admirer ce que j’aurais autour de moi, à chaque instant du voyage. Partager, écouter et apprendre des personnes que je rencontrerai durant ces 1.000 km de la Via Francigena ».

Le voyage va bientôt commercer. Andrea racontera son chemin à travers les réseaux sociaux comme la page Facebook « Viaggi in gamba » et en ligne avec Radio Francigena, la voix des chemins. L’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena (AEVF), qui a parrainé l’initiative, suivra aussi la nouvelle aventure de l’athlète avec des mises à jour et des post sur les réseaux sociaux.

Pour suivre Andrea, télécharger les étapes de son chemin dans le pdf ci-joint.

 

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L’Italia in cammino, la fotografia di Terre di Mezzo

Per la prima volta il numero di persone che percorrono i cammini in Italia supera quello degli italiani che hanno ricevuto la Compostela a Santiago.

Sono infatti 32.338 le persone che nel 2018 hanno chiesto la credenziale per uno degli itinerari nel Belpaese, contro i 27.009 italiani arrivati alla Cattedrale di Santiago (è la nazionalità più numerosa, dopo gli spagnoli).

Ad evidenziarlo è il risultato di un’indagine realizzata su iniziativa di Terre di Mezzo editore e presentata oggi a Milano in occasione dell’apertura della sedicesima edizione di “Fa’ la cosa giusta!“, la fiera del consumo critico e degli stili di vita sostenibili in programma a Milano dall’8 al 10 marzo a Fieramilanocity.

L’indagine è stata condotta sia sulla base dei dati forniti dalle associazioni o enti che accolgono i pellegrini sia su un questionario lanciato su Facebook, al quale hanno risposto 2.930 camminatori. “Non era mai successo. Segno che c’è un potenziale per i cammini italiani”, ha sottolineato Miriam Giovanzana, direttore editoriale di Terre di mezzo, durante la presentazione odierna.

Secondo quanto emerso, in Italia la più gettonata è la via Francigena, con 17.092 credenziali richieste, seguita dai cammini francescani (Via di Francesco e Di qui passò Francesco, 7.352), dalla Via degli Dei (3.800), dal Cammino di San Benedetto (2.106), dai Cammini francigeni di Sicilia (1.426) e dalla Via Romea Germanica (652). I testimonium rilasciati a Roma (punto di arrivo di più cammini) sono stati 9.372, ad Assisi 3.950 e a Montecassino 700.

Dai risultati del questionario emerge un ritratto del camminatore tipo in Italia. È una minoranza (il 25%) quella che si mette in cammino per motivi religiosi, gli altri annoverano tra le motivazioni “per fare trekking” (52%), “per stare nella natura” (50%) o “per scoprire il territorio” (46%).

Tre su quattro hanno già fatto altri itinerari e camminano soprattutto gli over 40: il 28,9% ha tra 51 e 60 anni, il 24,1% tra 61 e 70 anni, il 19,7% tra 41 e 50 anni. Le donne sono il 43%. Solo il 12% ha la licenza media, mentre diplomati e laureati si equivalgono (44%). Pochi quelli che affrontano il pellegrinaggio in bici, l’11%. Il 51% fa tutto il cammino in una sola volta.

Ma se si entra nel dettaglio dei singoli itinerari si trovano molte differenze. Sulla via Francigena solo il 16% parte e arriva in una sola stagione, gli altri preferiscono spezzettare il cammino su anni diversi. Sono percorsi interamente invece i cammini più brevi, come la Via degli Dei (90%), la Magna via Francigena in Sicilia (82%), Italia coast to coast (64%) e Cammino di San Benedetto (51%). I cammini francescani sono affrontati tutto d’un fiato dal 43%.

Camminare fa bene anche all’economia dei territori attraversati. Il 45% spende in media dai 30 ai 50 euro. Il 65,4% pernotta in un B&B, il 57,1% in strutture religiose, il 28,4% in agriturismi e il 23,8% in alberghi. E se il 73% pranza con i panini, il 52% poi si concede una cena al ristorante e il 27% va nelle trattorie in cui c’è il menù per i pellegrini. Prima di partire, il 42% ha acquistato calzature, il 39% abbigliamento tecnico e il 31% attrezzatura come zaino, borraccia o bastoncini. 

Fonte: Terre di Mezzo (link all’articolo)

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Italy on the road, the Terre di Mezzo overview

 For the first time, the number of people who travel Italian routes is greater than that of Italians that have received the Compostela in Santiago.

In fact, in 2018 32,338 people asked for a Pilgrim Passport for one of our Italian routes, compared to the 27,009 Italians who arrived at the Cathedral of Santiago (Italians are the highest number of visitors, after Spaniards).

To highlight this is the result of a survey carried out by Terre di Mezzo publishing company and presented today in Milan, on the occasion of the opening of the 16th “Fa’ la cosa giusta!“, the critical consumption and sustainable lifestyle fair, scheduled from 8th to 10th March at Fieramilanocity.

The survey was conducted based on both the data provided by associations or entities that welcome pilgrims and on a questionnaire launched on Facebook, to which 2,930 walkers responded. “It’s never happened before. A sign that there is a potential for Italian roads“, said Miriam Giovanzana, editorial director of Terre di Mezzo, during today’s presentation.

According to the findings, the most popular in Italy is the Via Francigena, with 17,092 Pilgrim Passports requested, followed by the Franciscan routes (Via di Francesco and Di qui passò Francesco, 7,352), Via degli Dei (3.800), Way of St. Benedict ( 2.106), Franciscan Way of Sicily (1.426) and Via Romea Germanica (652). There were 9,372 testimonium issued in Rome (point of arrival for several routes), 3.950 in Assisi and 700 in Montecassino.

The results of the questionnaire show a features of the typical hiker in Italy. A minority (25%) sets out for religious reasons, the others include, among the reasons, “to go trekking” (52%), “to be surrounded by nature” (50%) or “to discover the area”(46%).

Three out of four have already done other routes and especially those over 40: 28.9% are between 51 and 60 years old, 24.1% between 61 and 70 years old, 19.7% between 41 and 50 years old. 43% are women and only 12% have a middle school qualification, while those with diplomas and degrees are equal (44%). Few people travel the pilgrimage by bike: 11% and 51% complete the whole journey at once.

But if you go into detail for the individual routes you will find many differences. On the Via Francigena only 16% depart and arrive in one season, others prefer to break up the journey over different years. The shortest routes are completed in one go, such as the Via degli Dei (90%), the Magna via Francigena in Sicily (82%), Italy coast to coast (64%) and the Cammino di San Benedetto (51%). 43% of people tend to tackle the Franciscan paths in one go.

Walking is also good for the economy of the territories crossed. 45% spend, on average, between 30 and 50 euros. 65.4% stay in B&Bs, 57.1% in religious structures, 28.4% in agritourisms and 23.8% in hotels. 73% have a packed lunch, 52% then have dinner at a restaurant and 27% go to restaurants where a pilgrim menu is offered. Before leaving, 42% bought footwear, 39% technical clothing and 31% equipment, like backpacks, water bottles or hiking sticks.

Source: Terre di Mezzo (link to the article)

 

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L’Italie en chemin, la photographie de Terre di Mezzo

Pour la première fois, le nombre de personnes qui parcourt les chemins en Italie dépasse le nombre d’italiens qui a reçu la Compostela à Saint-Jacques de Compostelle.

En effet, 32.338 personnes ont demandé la crédenciale en 2018 pour un des itinéraires italiens, contre 27.009 italiens arrivés à la Cathédrale de Saint-Jacques de Compostelle (c’est la nationalité la plus nombreuse, après les espagnols).

C’est le résultat d’une enquête réalisée par Terre di Mezzo éditeur et présentée aujourd’hui à Milan à l’occasion de l’ouverture de la 16ème édition de « Fa’ la cosa giusta ! », la foire de la critique de la consommation et des styles de vie durable programmée à Milan du 8 au 10 mars à Fieramilanocity.

L’enquête a été conduite sur la base de données fournies par les associations ou organismes qui accueillent les pèlerins ainsi que sur un questionnaire lancé sur Facebook, auquel 2.930 marcheurs ont répondu. « Ce n’était jamais arrivé. Signe que les chemins italiens ont du potentiel » a souligné Miriam Giovanzana, directrice éditoriale de Terre di Mezzo durant la présentation.

En Italie, le chemin le plus populaire est la Via Francigena, avec 17.092 crédenciales demandées, suivie des chemins franciscains (Via di Francesco et Di qui passò Francesco, 7.352), de la Via degli Dei (3.800), du Chemin de San Benedetto (2.106), des Chemins francigeni en Sicile (1.426) et de la Via Romea Germanica (652). 9.372 Testimoniums ont été délivrés à Rome (arrivée de plusieurs chemins), 3.950 à Assise et 700 à Montecassino.

Le portrait du marcheur moyen en Italie est apparu des résultats du questionnaire. Une minorité (25%) se met en chemin pour des raisons religieuses, les autres se divisent entre les raisons « pour faire de la randonnée » (52%), « pour être dans la nature » (50%) ou « pour découvrir le territoire » (46%).

Trois sur quatre ont déjà fait un autre itinéraire et le groupe des plus de 40 ans marche principalement : 28,9% ont entre 51 et 60 ans, 24,1% ont entre 61 et 70 ans et 19,7% ont entre 41 et 50 ans. Les femmes sont 43%. Seulement 12% ont le brevet des collèges, alors que les détenteurs du baccalauréat ou d’un doctorat s’équivalent (44%). Seulement 11% font le pèlerinage en vélo. 51% font le chemin en entier en une seule fois.

Mais si on entre dans les détails de chaque itinéraire, on trouve de nombreuses différences. Sur la Via Francigena, seulement 16% partent et arrivent dans une seule saison, les autres préfèrent fractionner le chemin sur plusieurs années. Les chemins les plus courts sont parcourus en entier, comme la Via degli Dei (90%), la Magna Via Francigena en Sicile (82%), Italie coast to coast (64%) et le Chemin de San Benedetto (51%). Les chemins franciscains sont parcourus en totalité par 43% des marcheurs.

Marcher fait du bien, aussi à l’économie des territoires traversés. 45% dépensent en moyenne de 30 à 50 euros. 65,4% réservent dans un B&B, 57,1% dans des structures religieuses, 28,4% dans des agritourismes et 23,8% dans des hôtels. Et si 73% déjeunent avec un sandwich, 52% s’offrent un dîner au restaurant et 27% vont dans un petit restaurant où se trouve le menu pour les pèlerins. Avant de partir, 42% achètent des chaussures, 39% des vêtements techniques et 31% de l’équipement comme sac à dos, gourde ou des bâtons de marche.

Source : Terre di Mezzo (lien vers l’article)

 

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“Via Eurasia”, AEVF lancia una call per la ricerca di un coordinatore esterno

Nell’ambito del progetto “Via Eurasia: Italy, Greece and Turkey on Foot-European Culture Route linking Turkey to Italy”, l’Associazione Europea delle Vie Francigene lancia una call con scadenza il 15 marzo per la ricerca di un coordinatore esterno.

L’iniziativa si svolge in collaborazione con la Culture Route Society CRS, principale partner del progetto. L’incarico avrà inzio il 1 aprile 2019 e durerà 12 mesi presso la sede AEVF di Fidenza. I candidati interessati possono inviare i documenti richiesti nel bando, in inglese, entro il 15 marzo 2019. 

Maggiori informazioni nel bando allegato in lingua inglese.

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“Via Eurasia”, Call for Expression of Interest for a Position of a project coordinator

EAVF is currently looking for an external project coordinator for a duration of 12 months from April 1, 2019 to work on a project ‘Via Eurasia: Italy, Greece and Turkey on Foot-European Culture Route linking Turkey to Italy’ in collaboration with the Culture Route Society CRS, the lead partner of the project.

The workplace of the position is Fidenza, Parma, Italy (head office of the EAVF).  Candidates should send the following documents in English to the EAVF on segreteria@viefrancigene.org till 15 March 2019: C.V, Cover letter. You can find the information on the attached file.

 
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Meet Tourism Lucca, i numeri della prima edizione

Si chiude con successo di pubblico e di critica la prima edizione di Meet Lucca.

Ecco alcuni numeri che riassumono la tre giorni di Lucca: 6 workshop, 3 corsi di formazione, 5 mostre, 105 relatori, 27 Associazioni presenti, 16 nazioni coinvolte, 42 incontri b2b, 1 Regione ospite; il Molise con il progetto dei tratturi. Workshop in costante “sold out”, oltre 1000 persone registrate, per un evento di nicchia, che ha richiamato esperti del settore da tutta Italia dalla Sicilia, al Friuli e da vari paesi d’Europa.

Tra gli obiettivi raggiunti, c’è sicuramente quello di aver creato un filo diretto tra i soggetti di riferimento che dettano le linee guida del turismo in Europa e gli stakeholder territoriali. L’evento ha inoltre favorito il dialogo tra il territorio e gli operatori commerciali come travel designer, destination manager, agenzie di viaggio, tour operator e guide turistiche e un confronto e uno scambio di buone pratiche, tra associazioni provenienti da varie parti d’Europa.

Si è realizzato un luogo d’incontro tra il mondo digitale e dell’innovazione e le comunità che si stanno organizzando per dare visibilità ai loro territori; un confronto con le scelte adottate dagli enti locali, regionali e ministeriali per capire quale indirizzo avrà il turismo nei prossimi anni. I vari incontri sono stati importanti per individuare le tendenze più attuali e registrare anche delle incongruenze: come quella tra sistemi tradizionali di promozione e nuove tecnologie che puntano a facilitare l’accesso delle nuove generazioni. Importante anche la sensibilizzazione svolta nei confronti di stakeholder e operatori sul ruolo del turismo universale, accessibile a tutti anche nel rispetto delle culture del dialogo interculturale e dei nuovi turismi (degustazione Kosher e Halal).

E’ arrivata una sollecitazione forte sia da istituzioni che da operatori e territori, per trasformare Meet Tourism in un appuntamento fisso annuale che possa creare una continuità e uno spazio di dialogo su queste tematiche. L’evento ha avuto, a detta di molti, il merito di individuare un vuoto da riempire, una pagina non scritta da costruire insieme per un tesoro inestimabile che è il nostro giacimento culturale.

Le parole più gettonate che hanno declinato le ultime tendenze del turismo: Turismo, emozionale, sociale, qualificato, culturale, ambientale, sportivo, accessibile, responsabile, sostenibile, lusso interiore, Tourism tailor made, playable. Meet Tourism Lucca è un Meeting internazionale per la scoperta e la valorizzazione dei percorsi culturali e delle destinazioni di eccellenza europee per un turismo qualificato, culturale, ambientale, sportivo, accessibile e responsabile.

Un Meeting di respiro internazionale, nato sotto l’Alto Patronato del Parlamento Europeo e con il Patrocinio di: Consiglio d’Europa Ufficio di Venezia, Istituto Europeo degli Itinerari Culturali, Federturismo Confindustria, Federculture, Regione Toscana, Comune di Lucca, Università di Pisa. il Meeting Internazionale degli Itinerari Culturali – Meet Tourism Lucca – organizzato da FEISCT (Federazione Europea Itinerari Storici Culturali e Turistici) in collaborazione con partner prestigiosi e con la direzione attenta ed esperta di Alberto D’Alessandro, punto di riferimento europeo per lo sviluppo degli Itinerari Culturali.

Meet Tourism Lucca è realizzato in partnership con: Toscana Promozione Turistica, Fondazione Campus di Lucca, Fondazione Promo PA, ITRIA (Itinerari Religiosi Interculturali Accessibili) Rotta dei Fenici (Itinerario del Consiglio d’Europa), AEVF (Associazione Europea delle Vie Francigene), EHTTA (Itinerario Europeo Città Storiche Termali), Fondazione Nazionale Carlo Collodi e con la mediapartnership di: Trenitalia, Toscana Aeroporti, PleinAir, AgCult, Radio Francigena. 

Fonte: comunicato stampa

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Carema, inaugurato l’infopoint sulla Via Francigena

Grande partecipazione ed entusiasmo, sabato 23 febbraio, a Carema in Piemonte per l’inaugurazione del punto informazioni sulla Via Francigena.

L’amministrazione comunale guidata da Giovanni Aldighieri, ha organizzato una cerimonia dedicata al nuovo infopoint realizzato nella Casaforte Gran Masun.

L’evento, ha visto la partecipazione della cittadinanza e delle autorità locali. Tra i presenti: Daniela Broglio, direttrice di Turismo Torino e Provincia; Massimo Tedeschi, presidente dell’Associazione Europea delle Vie Francigene (AEVF) e Paolo Facchin, presidente della via Francigena di Sigerico di Ivrea.

Il caratteristico comune piemontese al confine con la Valle d’Aosta è infatti anche membro AEVF. Per l’occasione è stato presentato il timbro che verrà apposto sulla credenziale raffigurante il Gran Masun e il pellegrino.

Il recupero della struttura medievale non è ancora terminato e la ristrutturazione di alcuni locali è stata possibile grazie ad un lungo lavoro di impegno e reperimento fondi. E’ stato realizzato il locale per l’infopoint, un locale per la caldaia e il primo piano destinato ad ospitare un museo multimediale interattivo. L’edificio è stato dotato di servizi igienici e di un ascensore che servirà tre livelli. Attualmente, l’infopoint è aperto nel fine settimana con un servizio offerto dai volontari dell’amministrazione comunale. 

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Carema, the infopoint along the Via Francigena inaugurated

Great enthusiasm and participation in Carema (Piedmont) on 23rd February for the inauguration of the information point along the Via Francigena.

The municipal administration guided by Giovanni Aldighieri, organised a ceremony dedicated to the new infopoint realised in Casaforte Gran Masun.

The event saw the participation of local citizens and authorities. Among the present: Daniela Broglio, director of Tourism for Turin and its provinces; Massimo Tedeschi, president of the European Association of Via Francigena Ways (EAVF) and Paolo Facchin, president of the Via Francigena of Sigeric of Ivrea.

The characteristic Piedmontese municipality on the border with Valle d’Aosta is also an EAVF member. For the occasion the stamp was presented which will be placed on the symbolic Pilgrim Passport of Gran Masun and the pilgrim.

Recovery of the medieval structure has not yet finished and the restructuring of some buildings was made possible thanks to a lot of hard work and collection of funds. A building for the infopoint was also realised, a boiler room and first floor intended for a multimedia interactive museum. The building has been equipped with toilet facilities and a lift which will offer access to three floors. The infopoint is currently open at weekends with a voluntary service offered by municipal administration.