Via Francigena

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La Via Francigena perd Palmira Orsières, ambassadrice du chemin. Le souvenir de l’AEVF

L’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena (AEVF) exprime ses condoléances pour la perte de Palmira Orsières, amoureuse de la Via Francigena, de la nature et de la randonnée. Une véritable ambassadrice des valeurs liées au chemin européen, en particulier l’amitié, l’écoute et le partage.

Palmira Orsières était une guide randonnée naturaliste du Val d’Aoste depuis 1991 et guide exclusive du Parc National du Grand Paradis depuis 2001. Elle a eu une longue expérience de conduite de groupes de marcheurs le long de la Francigena en Val d’Aoste et régions frontières comme la Ligurie, la Toscane, le Latium et sur le tronçon suisse. Avec l’aide précieuse de Palmira, le sentier de la Via Francigena dans le territoire du Val d’Aoste a été tracé.  

Palmira a collaboré avec l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena ainsi qu’à la réalisation de nombreuses publications sur la randonnée, la nature et l’histoire. Elle s’est occupée d’histoire, de tradition, de culture alpine, de plantes officinales et de sentiers. Elle a guidé le long des sentiers de la Via Francigena de nombreux voyageurs et passionnés, en étant appréciée pour ses dotes humaines et pour la profonde passion pour sa terre.

L’équipe de l’AEVF se souviendra de Palmira avec une grande affection et estime.

Ci-dessous, un extrait de l’interview de Palmira réalisée par l’AEVF il y a 5 ans de cela.

Comment nait votre passion pour les chemins et pour la Via Francigena ? combien de jours par an vous passez sur les sentiers ?

« Je marche sur les sentiers depuis toujours, c’est une passion que j’ai hérité de ma famille. Devenir guide de randonnée et accompagner les personnes sur les sentiers du Val d’Aoste et des régions frontières (canton de Valais, Savoie, Haute-Savoie et Piémont) est arrivé presque naturellement.

J’ai été en contact avec la Via Francigena en 1995-1996, à l’occasion de la création d’un parcours de randonnée entre Aoste et Martigny, le long des sentiers existants, qui reparcourent, en bonne partie la route romaine et celle du moyen-âge. L’itinéraire Aoste-Martigny est devenu par la suite le chemin de la Via Francigena. Cela a donné l’idée à l’association valaisanne de randonnée, Valrando, de partir à pied pour Rome, guidée par le président Willy Fellay et par l’abbaye de Saint-Maurice Joseph Roduit. Et moi, j’ai fait partie de ce groupe.

Ainsi, a commencé une belle aventure de chemin, de partage d’expériences et d’amitié qui m’a conduite à marcher pendant 6 ans, 8-9 jours par an, le long des sentiers de la Via Francigena. Après avoir complété le chemin jusqu’à Rome, nous avons parcouru la Via Francigena de Saint-Maurice à Canterbury. Je marche régulièrement le long de la Via Francigena : le tronçon du Val d’Aoste et celui du Canavais, je les parcours entièrement en moyenne 2 – 3 fois par an, en randonnées d’une journée. J’accompagne des groupes vers Rome et vers Canterbury, en marchant 9-10 jours chaque année. En 2014, nous avons parcouru un tronçon, en Italie, entre l’Émilie-Romagne et la Toscane et en France, entre Besançon et Chaumont ».

Vous vous occupez du chemin de temps à autre, en particulier dans le Val d’Aoste et dans la partie suisse du parcours. Comment voyez-vous le développement de la Francigena dans les dernières années et quelles sont, selon vous, les perspectives futures ? qu’est-ce que la Francigena peut représenter pour le Val d’Aoste dans le domaine culturel, social, touristique et économique ?

« Le passage des pèlerins le long de la Via Francigena dans les dernières années a augmenté de manière remarquable. Les statistiques le confirment. La Via Francigena peut représenter une grande opportunité pour le développement touristique et économique des localités qui ne sont pas trop touchées par les grands flux touristiques. Les localités souvent définies comme « mineures », mais qui renferment un patrimoine d’architecture rurale, mais aussi d’art, de culture, de tradition et d’histoire. J’ai souvent entendu dire : « dans ces lieux, si je n’étais pas venu à pied, je n’aurais jamais eu la possibilité de les visiter. » À mon avis, la Via Francigena est une grande opportunité de développement touristique, économique, culturel et social, et elle mérite d’être valorisée. Cela vaut pour le Val d’Aoste, mais aussi pour tout le parcours ».

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The Via Francigena loses Palmira Orsières, hiking ambassador. The EAVF remembers

The European Association of Via Francigena Ways (EAVF) expresses its condolences for the loss of Palmira Orsières, in love with the Via Francigena, nature and hiking. A true ambassador of the values ​​linked to the European journey, especially those of friendship, listening and sharing.

Palmira Orsières, had been a naturalistic hiking guide of the Valle d’Aosta since 1991 and exclusive guide of the Gran Paradiso National Park since 2001. She had vast experience of guiding groups of walkers along the Francigena in Valle d’Aosta and bordering regions of Liguria, Tuscany, Lazio and in the Swiss section. It’s with the precious help of Palmira that the path of the Via Francigena in the Valle d’Aosta tract was traced.

Palmira has collaborated with the European Association of Via Francigena Ways and in the creation of numerous publications of a hiking, naturalistic and historical nature. She had great knowledge of history, traditions, alpine culture, medicinal plants and pathways. She guided numerous wayfarers and enthusiasts along the paths of the Via Francigena, making herself appreciated for her human talents and for her deep passion of her land. 

The EAVF remembers Palmira with great affection and esteem.

 
Below is an excerpt from the interview conducted by the EAVF with Palmira 5 years ago ( Here is the link to the full interview).

–  How did your passion for routes and the Via Francigena come about? How many days a year do you spend on the trails?: 

“I have always walked along paths, it is a passion I inherited from my family. It was almost natural that I should become a hiking guide and accompany people on the Valle d’Aosta trails and bordering regions, Valais, Savoy, Haute Savoie and Piedmont.

I came into contact with the Via Francigena in 1995-1996, during the creation of a hiking trail between Aosta and Martigny, along existing paths which retrace, in large part, the routes of Roman and medieval roads. The Aosta-Martigny route has since become the Via Francigena path. This gave the Valesan Association the idea to travel on foot to Rome; led by its president, Willy Fellay, and the abbot of Saint-Maurice, Joseph Roduit. And I was a part of the group.

Thus began my beautiful adventure of walking, of sharing experiences and friendships. For six years I walked along the paths of the Via Francigena eight or nine days a year. After completing the journey in Rome, we travelled the Via Francigena from Saint-Maurice to Canterbury. I walk along the Via Francigena on day trips two or three times a year: the Valle d’Aosta and Canavese sections cover it entirely. I accompany groups to Rome and to Canterbury, walking 9-10 days each year. In 2014 we traveled a stretch in Italy, between Emilia-Romagna and Tuscany and in France, between Besançon and Chaumont“. 

You’ve been on the road for a long time, particularly in the Valle d’Aosta and Swiss parts of the route. From your point of view, how do you see the development of the Francigena in recent years and what are, in your opinion, its future prospects. How can the Francigena represent Valle d’Aosta in the cultural, social, tourist and economic sphere? 

The passage of pilgrims along the Via Francigena in recent years has increased considerably and statistics confirm this. The Via Francigena represents a great opportunity for the tourist and economic development of places that aren’t really affected by great tourist flows, places often defined as “minor”, but which contain a heritage of rural architecture, but not only, they also have a heritage of art, culture, traditions and history. I have often heard the phrase:  If I hadn’t passed these places on foot, I would never have had the chance to visit them. In my opinion the Via Francigena is a great opportunity for tourism, economic, cultural and social development and deserves to be valued. This applies to Valle d’Aosta, but also to the entire route“. 

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La Via Francigena perde Palmira Orsières, ambasciatrice del cammino. Il ricordo di AEVF

L’Associazione Europea delle Vie Francigene (AEVF) esprime il suo cordoglio per la scomparsa di Palmira Orsières, innamorata della Via Francigena, della natura e dell’escursionismo. Una vera ambasciatrice dei valori legati al cammino europeo, in particolar modo quelli dell’amicizia, dell’ascolto e della condivisione.

Palmira Orsières, era guida escursionistica naturalistica della Valle d’Aosta dal 1991 e guida esclusiva del Parco Nazionale del Gran Paradiso dal 2001. Ha avuto una lunga esperienza di conduzione di gruppi di camminatori lungo la Francigena in Valle d’Aosta, regioni confinanti, Liguria, Toscana, Lazio e nel tratto svizzero. Con l’aiuto prezioso di Palmira è stato tracciato il sentiero della Via Francigena nel tratto valdostano.

Palmira ha collaborato con l’Associazione Europea delle Vie Francigene e alla realizzazione di numerose pubblicazioni a carattere escursionistico, naturalistico e storico. Si è occupata di storia, tradizioni, cultura alpina, piante officinali e di sentieristica. Ha guidato lungo i sentieri della Via Francigena numerosissimi viandanti e appassionati, facendosi apprezzare per le sue doti umane e per la profonda passione della sua terra.

AEVF ricorda con grande affetto e stima Palmira.

 
Di seguito un estratto dell’intervista realizzata da AEVF a Palmira 5 anni fa (Qui il link all’intervista completa).

– Come nasce la tua passione per i cammini e per la Via Francigena? Quanti giorni all’anno trascorri sui sentieri?:

“Cammino sui sentieri da sempre, è una passione che ho ereditato dalla mia famiglia. A un certo punto è stato quasi naturale diventare guida escursionistica e accompagnare persone sui sentieri della Valle d’Aosta e regioni confinanti, Vallese, Savoia, Alta Savoia e Piemonte.

Con la Via Francigena sono venuta in contatto negli anni 1995-1996, in occasione della creazione di un percorso escursionistico tra Aosta e Martigny, lungo i sentieri esistenti, che ripercorrono, in buona parte il percorso della strada romana e quella medioevale. L’itinerario Aosta-Martigny è diventato in seguito, il cammino della Via Francigena. Questo ha dato l’idea all’Associazione Vallesana di escursionisti, Valrando, di partire a piedi per Roma. guidati dal suo presidente, Willy Fellay e dall’abate di Saint-Maurice Joseph Roduit. E io sono stata integrata nel gruppo.

È iniziata così una bella avventura di cammino, di condivisione di esperienze e di amicizia che mi ha portata per sei anni a camminare, otto-nove giorni all’anno, lungo i sentieri della Via Francigena. Dopo aver completato il cammino a Roma,  abbiamo percorso La Via Francigena da Saint-Maurice a Canterbury. Cammino regolarmente lungo la Via Francigena: il tratto valdostano e quello canavesano lo percorro interamente, in media due volte-tre all’anno, in escursioni di una giornata. Accompagno gruppi verso Roma e verso Canterbury, camminando 9-10 giorni ogni anno.Nel 2014 abbiamo percorso un tratto, in Italia, tra l’Emilia-Romagna e la Toscana e in Francia, tra Besançon e Chaumont“.

Ti occupi del cammino da tanto tempo, in particolare nella Valle d’Aosta e nella parte svizzera del percorso. Dal tuo punto di vista, come vedi lo sviluppo della Francigena negli ultimi anni e quali sono, a tuo avviso le prospettive future. Cosa può rappresentare la Francigena per la Valle d’Aosta in ambito culturale, sociale, turistico ed economico?

Il passaggio di pellegrini lungo la Via Francigena negli ultimi anni è aumentato in modo notevole. Le statistiche lo confermano. La Via Francigena può rappresentare una grande opportunità per lo sviluppo turistico ed economico delle località non troppo toccate dai grandi flussi turistici, località spesso definite “minori”, ma che racchiudono un patrimonio di architettura rurale e non solo, di arte, di cultura, di tradizioni e di storia. Ho sentito spesso ripetere la frase: In questi luoghi, non fossi passato a piedi, non avrei mai avuto la possibilità di visitarli. A mio parere la Via Francigena è una grande opportunità di sviluppo turistico, economico, culturale e sociale e merita di essere valorizzata. Questo vale per la Valle d’Aosta, ma anche per l’intero percorso“. 

 
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“Mònde – Festa del Cinema sui Cammini” alla 76^ Mostra d’Arte Cinematografica di Venezia

La 2^ edizione di “Mònde – Festa del Cinema sui Cammini”, il Festival ideato e organizzato da MAD – Memorie Audiovisive della Daunia, è stata presentata alla 76^ Mostra d’Arte Cinematografica di Venezia.

Domenica 1 settembre, all’Hotel Excelsior presso la Fondazione Ente dello Spettacolo, “Mònde” è stato protagonista, insieme a “Social Film Fund Con il Sud” e ai progetti “Ciak” e “Circe”, del focus dedicato alle produzioni sostenute da Apulia Film Commission e Regione Puglia.

«Un Festival come “Mònde”, oltre a valorizzare gli aspetti legati al racconto cinematografico del territorio, interviene anche sulla rigenerazione paesaggistica nella sua accezione immateriale, un tema di assoluta attualità che include anche l’innovazione sociale. Ma è anche un festival capace di fare sistema nella complessiva strategia culturale regionale», ha spiegato l’assessore regionale all’Industria Turistica e Culturale Loredana Capone durante l’incontro cui hanno preso parte anche la presidente della Fondazione Apulia Film Commission Simonetta Dellomonaco, il direttore generale di Apulia Film Commission Antonio Parente e il direttore del Dipartimento Cultura e Turismo della Regione Puglia Aldo Patruno.

A sottolineare l’importanza dell’aspetto strategico dei progetti della Regione Puglia è stata Simonetta Dellomonaco, che ha affermato: «Quello della rigenerazione paesaggistica è un tema culturale. “Mònde”, oltre a valorizzare gli aspetti intangibili, quindi culturali, interviene sulla narrazione del paesaggio che costituisce la percezione dello stesso».

«“Mònde” è un festival cinematografico legato ai cammini. E proprio i cammini e gli itinerari culturali sono una delle strategie fondamentali delle politiche della Regione Puglia. Il 18 ottobre, infatti, si terrà per la prima volta a Bari l’Assemblea Europea delle Vie Francigene, che porterà al riconoscimento della Francigena del Sud come itinerario culturale del Consiglio d’Europa. E Luciano Toriello, direttore artistico di “Mònde”, raffigura la sintesi di tutto questo», ha dichiarato Aldo Patruno.

A rappresentare al Lido “Mònde – Festa del Cinema sui Cammini” il direttore artistico Luciano Toriello, che ha affermato: «Essere presenti alla Mostra del Cinema di Venezia è un’importante opportunità per presentare la nostra idea di festival alla stampa e al pubblico delle grandi occasioni. In un territorio – quale il Gargano – meritevole di attenzione, la forza e l’originalità di “Mònde” risiedono nel coniugare il cinema con un’idea di turismo sostenibile e destagionalizzato. E stiamo lavorando con impegno per rendere il nostro un modello vincente ed esportabile».

La 2^ edizione di “Mònde” – il cui nome si rifà al termine dialettale con cui è chiamata la cittadina di Monte Sant’Angelo, ma al contempo rimanda anche al “mondo”, ad una dimensione più alta e universale – si terrà da giovedì 10 a domenica 13 ottobre 2019 nella cornice unica e suggestiva dello storico Rione Junno di Monte Sant’Angelo e all’interno del Parco Nazionale del Gargano.

“Mònde” è un festival cinematografico dedicato al tema del viaggio, in tutte le sue sfumature ed accezioni, ma comprende anche escursioni e camminate, “Gargano DOC – Scuola del documentario sui Cammini e gli Itinerari Culturali”, workshop, incontri con gli autori, mostre e concerti, momenti di conviviale condivisione.

E infatti, durante i giorni della Festa, Monte Sant’Angelo diventa meta e punto di partenza di ogni viaggio, pellegrinaggio e cammino, luogo di scambio, di incontro e confronto aperto tra Arti e Culture.

Oltre a “Mònde”, MAD – Memorie Audiovisive della Daunia ha presentato, in veste di produttore, il nuovo documentario diretto da Luciano Toriello, “La luce dentro”, vincitore del bando “Social Film Fund – Con il Sud” di Apulia Film Commission e Fondazione CON IL SUD. Un bando alla prima edizione, nato con l’obiettivo di dare vita a un “racconto per immagini” del Sud attraverso i fenomeni sociali che lo caratterizzano, promuovendo  l’incontro tra imprese cinematografiche con enti del Terzo settore e del volontariato meridionale.

La call per partecipare alla 2^ edizione di “Mònde” è aperta fino al 7 settembre, tutte le info su http://www.mondefest.it/iscrizioni-2019/.

Il Festival è un’iniziativa della Regione Puglia – Assessorato Industria Turistica e Culturale a valere sulle risorse del Patto per la Puglia FSC 2014-2020 – prodotta da Apulia Film Commission nell’ambito dell’intervento Apulia Cinefestival Network, insieme a Ente Parco Nazionale del Gargano e con il patrocinio del Comune di Monte Sant’Angelo. Soggetto ideatore e organizzatore della manifestazione è MAD – Memorie Audiovisive della Daunia per la Direzione artistica di Luciano Toriello. L’evento è inoltre realizzato in collaborazione con l’Ass. “Monte Sant’Angelo Francigena”.

 Fonte: comunicato stampa

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« Mònde – Fête du cinéma sur les chemins » à la 76ème exposition d’art cinématographique de Venise

La 2ème édition de « Mònde – Fête du cinéma sur les chemins », le festival créé et organisé par MAD – Mémoires Audiovisuelles de la Daunie, a été présentée à la 76ème Exposition d’art cinématographique de Venise.

Dimanche 1 septembre, à l’hôtel Excelsior à la Fondation Organisme du Spectacle, « Mònde » a été le protagoniste, avec « Social Film Fund Con il Sud » et avec les projets “Ciak” et “Circe“ du focus consacré aux productions soutenues par Apulia Film Commission et la région des Pouilles.

« Un festival comme « Mònde », en plus de valoriser les aspects liés au récit cinématographique du territoire, intervient aussi sur la régénération paysagère dans son acception immatérielle, un thème absolument d’actualité qui inclut l‘innovation sociale. Mais c’est aussi un festival capable de systématiser la stratégie culturelle régionale globale » a expliqué l’assesseur régional à l’industrie touristique et culturelle Loredana Capone durant la rencontre à laquelle ont participé la présidente de la fondation Apulia Film Commission Simonetta Dellomonaco, le directeur général d’Apulia Film Commission Antonio Parente et le directeur du département culture et tourisme de la région des Pouilles Aldo Patruno.

Simonette Dellomonaco a souligné l’importance stratégique des projets de la région des Pouilles, en affirmant : « la régénération paysagère est un thème culturel. « Mònde », en plus de valoriser les aspects intangibles, donc culturels, intervient sur la narration du paysage qui constitue la perception de celui-ci ».

« Mònde est un festival cinématographique lié aux chemins. Et justement, les chemins et les itinéraires culturels sont une des stratégies fondamentales des politiques de la région des Pouilles. Le 18 octobre, en effet, aura lieu pour la première fois à Bari l’Assemblée Générale de l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena, qui amènera à la reconnaissance de la Francigena du sud en tant qu’itinéraire culturel du Conseil de l’Europe. Et Luciano Toriello, directeur artistique de « Mònde », représente la synthèse de tout cela » a déclaré Aldo Patruno.

Le directeur artistique Luciano Toriello a affirmé « être présents à l’exposition du cinéma de Venise est une opportunité importante pour présenter notre idée du festival à la presse et au public. Dans un territoire, comme le Gargano, digne d’attention, la force et l’originalité de « Mònde » réside dans l’association du cinéma avec une idée de tourisme durable et désaisonnalisé. Nous travaillons durement pour rendre notre modèle gagnant et exportable ».

 « Mònde » fait référence à un mot en dialecte avec lequel est nommée la ville de Monte Sant’Angelo, mais qui en même temps renvoie au « monde », à une dimension plus grande, universelle. La 2ème édition de « Mònde » aura lieu de jeudi 10 à dimanche 13 octobre 2019 dans le cadre unique et merveilleux de l’historique Rione Junno de Monte Sant’Angelo et dans le Parc National du Gargano.

« Mònde » est une festival cinématographique consacré au thème du voyage, dans toutes ses dimensions et acceptions, mais il comprend aussi des randonnées et des marches, “Gargano DOC – École du documentaire sur les chemins et les itinéraires culturels ”, ateliers, rencontres avec les auteurs, expositions, concerts, moments conviviaux.

Et en effet, durant les jours de la fête, Monte Sant’Angelo devient une destination et un point de départ de chaque voyage, pèlerinage et chemin, lieu d’échange, de rencontre et de dialogue ouvert entre l’art et la culture.

MAD – Mémoires Audiovisuelles de la Daunie a présenté, en tant que producteur, le nouveau documentaire dirigé par Luciano Toriello “La luce dentro”, gagnant du concours “Social Film Fund – Con il Sud” de Apulia Film Commission et Fondazione CON IL SUD. Un concours à sa première édition, qui a pour objectif de donner vie à un récit en images du sud à travers des phénomènes sociaux qui le caractérisent, en promouvant la rencontre entre les entreprises cinématographiques et les organismes du Troisième secteur et des volontaires.

Pour participer à la 2ème édition de « Mònde » les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 7 septembre, toutes les informations sur  http://www.mondefest.it/iscrizioni-2019/.

Le festival est une initiative de la région des Pouillesassessorat industrie touristique et culturelle à valoir sur les ressources du pacte pour les Pouilles FSC 2014-2020 – produit par Apulia Film Commission dans le cadre de l’intervention Apulia Cinefestival Network, avec l’organisme Parc National du Gargano et avec le parrainage de la commune de Monte Sant’Angelo. MAD – Mémoires Audiovisuelles de la Daunie sont les créateurs et organisateurs avec la direction artistique de Luciano Toriello. L’évènement est réalisé en collaboration avec l’association Monte Sant’Angelo Francigena.

Source : communiqué de presse

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“Mònde – Festa del Cinema sui Cammini” at the 76th Venice Film Festival

The 2nd edition of “Mònde – Festa del Cinema sui Cammini“, the Festival created and organised by MAD – Memorie Audiovisive della Daunia, was presented at the 76th Venice Film Festival.

On Sunday 1st September, at Hotel Excelsior at the Fondazione Ente dello Spettacolo, “Mònde” was the protagonist of the productions supported by Apulia Film Commission and the region of Puglia, along with “Social Film Fund Con il Sud” and the projects “Ciak” and “Circe“.

A festival like “Mònde”, in addition to enhancing features linked to the cinematographic narrative of the territory, also adds to the regeneration of the landscape in an immaterial way, a subject of absolute topicality that also includes social innovation. It is also a festival capable of creating a cultural regional strategy“, explained the Regional Councillor for Tourism and Cultural Industry, Loredana Capone, during the meeting which was also attended by the president of the Apulia Film Commission Foundation, Simonetta Dellomonaco, the general director of Apulia Film Commission, Antonio Parente, and the director of the Department of Culture and Tourism of the region of Puglia, Aldo Patruno.

Simonetta Dellomonaco underlined the importance of the strategic aspect of Puglia’s projects, she affirmed “that landscape regeneration is a cultural theme. “Mònde”, as well as enhancing the intangible and therefore cultural aspects, also influences the narration of the landscape that constitutes its perception“.

“Mònde” is a film festival linked to cultural routes. Paths and cultural routes make up a fundamental strategy of the policies of the region of Puglia. On 18th October, in fact, the European Assembly of the Vie Francigene will be held in Bari, which will lead to recognition for the Southern Francigena as a cultural route of the Council of Europe. And Luciano Toriello, artistic director of “Mònde”, is responsible for the synthesis of all this“, said Aldo Patruno.

Representing the Lido “Mònde – Festa del Cammini”, artistic director Luciano Toriello, stated: “Being present at the Venice Film Festival is an important opportunity to present our idea of ​​festivals to the press and public. In a territory worthy of attention – such as Gargano – the strength and originality of “Mònde” resides in combining cinema with an idea of ​​sustainable and seasonally adjusted tourism and we are working hard to make ours a winning and exportable model“.

The 2nd edition of “Mònde” – whose name refers to the name of the town of Monte Sant’Angelo, but at the same time also refers to the “world“, a higher and universal dimension – will be held from Thursday 10th to Sunday 13th October 2019 in the unique and evocative setting of the historic Rione Junno of Monte Sant’Angelo and in Gargano National Park.

“Mònde” is a film festival dedicated to the theme of travel, in all its nuances and meanings, but also includes excursions and walks; “Gargano DOC – School of documentary on the Paths and Cultural Routes“; workshops; meetings with authors; exhibitions; concerts and moments of convivial sharing.

On the days of the festival, Monte Sant’Angelo will become a destination and starting point for every pilgrimage and journey, a place of exchanges, encounters and open comparison between art and culture.

In addition to “Mònde”, MAD – Memorie Audiovisive by Daunia presented the new documentary directed by Luciano Toriello, “La luce dentro“; winner of the “Social Film Fund – Con il Sud” competition by Apulia Film Commission and Foundation WITH THE SOUTH. A call for the first edition, created with the aim of giving life to a “story in images” of the South through the social phenomena that characterise it, promoting a meeting between cinematographic companies and Third Sector and Southern Voluntary organisations.

The call to participate in the 2nd edition of “Mònde” is open until 7th September, all the info on http://www.mondefest.it/iscrizioni-2019/.

The Festival is an initiative of the region of Region – Touristic and Cultural Industry Department based on the resources of the FSC Pact for Puglia 2014-2020 – produced by the Apulia Film Commission as part of the Apulia Cinefestival Network, together with Ente Parco Nazionale del Gargano and with the patronage of the Municipality of Monte Sant’Angelo. Creator and organiser of the event is MAD – Audiovisual Memories of Daunia for the Artistic Direction of Luciano Toriello. The event has also been organised in collaboration with the Ass. “Monte Sant’Angelo Francigena”.

 Source: press release