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La Toscane en chemin, les régions unies pour la création d’un réseau partagé

Six régions (Toscane, Ligurie, Emilie-Romagne, Ombrie, Marche et Latium) au travail pour créer un réseau de chemins interrégionaux et le promouvoir à travers la construction d’un produit touristique complexe.

Un travail d’équipe pour réaliser une offre partagée et homogène grâce à la volonté commune et à une vision d’ensemble. Voilà le but de la conférence « Toscane en chemin… vers les autres régions » qui a eu lieu aujourd’hui (et qui aura lieu aussi demain) à l’Abbaye de Spineto à Sarteano.

De nombreux thèmes mis en évidence au cours de la session plénière qui a impliqué les représentants des institutions des régions engagées.  

« Tout cela – a dit le Ministre du Tourisme Gian Marco Centinaio dans un message transmis à l’assemblée des participants – fait partie de la narration Pays, ça dit quelque chose à propos de nous, de nos origines, de nos traditions, de notre savoir-faire. Dans ce contexte, j’ai dit de suite combien la synergie entre les régions avec lesquelles je veux avoir un rapport direct était précieuse. Les chemins se révèlent un instrument toujours plus stratégique et efficace pour promouvoir ces zones qui ont le plus besoin d’augmenter leur attractivité. Dans les lignes du programme du Ministère de l’Agriculture et du Tourisme, nous avons décidé de pointer sur la tutelle et la promotion de ces paysages pour valoriser toutes ces destinations, définies de « deuxième catégorie » mais tout aussi émouvantes. Les villes d’art sont désormais saturées. Faisons-en sorte que les touristes viennent admirer ce que l’Italie peut offrir en termes de tourisme alternatif. Mais offrons-leur aussi des services adéquats. Des initiatives comme celle présentée aujourd’hui sont en phases avec nos objectifs ».

« La région Toscane – affirme Stefano Ciuoffo promeut cette rencontre qui représente la première occasion de dialogue sur le thème des chemins entre tous les acteurs engagés : Ministère, régions, communes et associations. Une opportunité pour construire un produit touristique avec des caractéristiques homogènes, au-delà des frontières régionales. Une manière pour proposer un tourisme lent, durable, d’expérience qui mène à découvrir, à travers le chemin, les petits bourgs au cœur de l’Italie ».

Le sujet est important et ressenti, la preuve sont les nombreuses propositions de chemins faites durant les 3 dernières années de la part d’organismes locaux et d’associations. « Le travail sur les itinéraires – a expliqué M Ciuoffo – permet de désaisonnaliser les flux touristiques et de les déplacer dans les zones internes, en donnant une opportunité de croissance et de développement économique ». « La capacité de créer de nouvelles voies utilisables en toute sécurité – a dit l’assesseur – dérive de l’union des intentions entre les acteurs publics engagés et les associations qui se consacrent à ces thèmes. Marcher signifie récupérer une perception intérieure et une dimension individuelle à travers l’interaction sans filtres avec le paysage et avec tout ce qui nous entoure. Marcher signifie aussi s’unir et dépasser les frontières, acquérir la capacité d’observer et de distinguer le beau du laid. De nombreuses valeurs qui permettent de créer un partage et surtout, pour de nombreuses réalités locales traversés par les chemins, l’entretien, la permanence des jeunes et particulièrement le relancement économique ».

« Les chemins – a dit Moreno Pieroni, assesseur au tourisme région Marche, intervenu au débat en vidéo conférence – deviennent une grande opportunité pour les réalités les plus petites. Un parcours très complexe qui part aujourd’hui. Pour les Marche, c’est une occasion très importante, surtout pour les zones touchées par le tremblement de terre. Ce serait bien si la deuxième partie de cette rencontre, l’année prochaine, pouvait se tenir dans une de ces petites réalités ».

« La Toscane – a ajouté Andrea Corsini, assesseur au tourisme région Emilie-Romagne – a été un modèle pour nous, une référence à laquelle nous nous sommes inspirés quand nous avons décidé de lancer la structuration de nos chemins. Cela a été une manière pour que de nombreuses petites réalités soient actrices du développement touristique régional alors qu’elles se sentaient exclues jusque-là. Maintenant, il est important aussi de savoir si le gouvernement actuel est intéressé à continuer de développer un discours lancé durant la législature précédente. Il y a une peu d’inquiétude après le résultat de l’avis de concours pour les périphéries. Toutefois, l’union d’intentions que nous avons tout de suite trouvé avec les autres régions nous donne espoir ».

« J’espère – a donc poursuivi Fabio Paparelli, vice-président région Ombrie – que de ce côté on puisse entrer en phase opérationnelle et que le Mibact aussi continu à être présent. Nous devons terminer un travail important, déjà lancé en partie par chacune des administrations régionales. Et il faudra le faire en ayant toujours à l’esprit trois éléments : durabilité, accessibilité et innovation. Tout cela devient important pour arriver à une offre homogène et structurée au niveau national. La synergie entre les régions centrales doit devenir toujours plus forte ».

La conclusion confiée à Marta Eleonori, conseillère région Latium qui a expliqué que « les chemins représentent la synthèse de toutes les beautés présentes que l’Italie est capable d’exporter, à travers un tourisme diffus et durable. Le Latium a nommé un assesseur pour cette mission et a lancé plusieurs importantes actions. Je retiens que la technologie, qui peut apparaitre comme quelque chose d’étrange au marcheur traditionnel, puisse jouer un rôle déterminant pour la promotion, l’information, l’offre de services, l’abattement de barrières physiques et non physiques ».

Les travaux, organisés en collaboration avec l’AEVF (Association Européenne des Chemins de la Via Francigena) se poursuivront dans l’après-midi et dans la journée de demain. 5 chemins interrégionaux « pilotes » (Via Lauretana, Via degli Dei, I Cammini di Francesco, Via Matildica del Volto Santo, Via Clodia) et 4 domaines opérationnels et stratégiques ont été choisis : l’entretien, l’accueil, la promotion et la gouvernance, sur lesquels tous les acteurs (les régions, les communes et les associations) pourront discuter pour développer une stratégie commune. Pour conduire le dialogue de manière organisée et constructive, nous ferons usage d’instruments technologiques ad hoc qui faciliteront la conception partagée. Les participants pourront interagir et voter avec leur smartphone durant les phases de l’événement et les sessions de « brainstorming » et contribuer aux interventions des relateurs, en visualisant les résultats en temps réel.  

Les contributions des participants et les engagements pris par les régions seront réunis, à la fin des travaux, dans un document : « Carte de Spineto » qui marquera les futures lignes guides pour les actions sur les chemins de l’Italie centrale.

LA TOSCANE

Dialoguer avec les autres régions de l’Italie centrale pour arriver à la construction d’un réseau interrégional, homogène et partagé de chemins. Des investissements importants partiront de la Toscane en 2019, plus de 20 millions d’euros : principalement sur la Francigena, qui représente la colonne vertébrale du réseau. Maintenant, la phase successive est lancée qui vise à mettre en réseau le reste des chemins présents dans la région en les reliant à ceux promus par les autres voisins.

La Toscane investira 20 millions à partir de 2019 sur la Via Francigena pour la mise en sécurité, la pose de signalisation, de lieux pour s’arrêter et la réalisation d’étape avec auberges Elle a ajouté plus récemment des sommes plus petites, mais pas moins importantes : 370.000 euros sur les Voies Etrusques, 50.000 euros sur le Romea Strata, aussi pour la mise en sécurité et la signalisation. Les communes se sont unies sur la Via Lauretana pour définir un plan d’intervention prioritaire de mise en sécurité et signalisation pour environ 300.000 euros que la région présentera au Ministère pour le financement. L’opération qui a uni les 26 communes des Vie di Francesco a été encore plus complexe, elles ont présenté des fiches d’interventions pour environ 2 millions d’euros pour la mise en sécurité et des projets futurs pour l’amélioration qui seront présentés toujours au Ministère. En plus, des avis de concours seront bientôt lancés, réservés aux communes (pour environ 400.000 euros) pour le financement de la signalisation des parcours qui n’en ont pas encore, à condition que les communes aient signé une convention pour la gestion associée du chemin. Une collaboration a été activée avec l’Université de Florence qui a permis de qualifier les interventions et les propositions des Communes qui se sont prévalues de ce soutien scientifique. Un dialogue avec les représentants de la Conférence Episcopale Toscane a été lancé qui a donné vie à une précieuse enquête sur les urgences religieuses.

Les chemins sont toujours en croissance. Durant ces trois dernières années, de nombreuses propositions de chemins ont été faites par les organismes locaux et les associations : de la Via del Volto Santo de Pontremoli à Lucques 60 Km,  à la Via Matildica de Mantova à Borgo a Mozzano 160 Km, La Via Ducale de Lucques à Parme 130 km, La Via degli Dei de Florence à Bologen 80 km, La Romea Strata des pays baltes à Fucecchio 1300 Km, La Romea Germanica des pays scandinaves à Radicofani 1100 Km, Via di Dante de Florence à Ravenna 130 Km, Cammini di Francesco de Santa Croce à Sacro Eremo di La Verna e da Arezzo- Cortona à Sacro Eremo di La Verna et de La Verna à Assise environ 400 Km, Vie Etrusche qui relient les villes étrusques y compris la Via Clodia qui part de Rome et rejoint Roselle, Via Lauretana qui relie Sienne à Loreto, La Linea Gotica un témoignage qui traverse la Toscane jusque dans les Marche. Sans oublier la principale, la Via Francigena, dont la Toscane est devenue promotrice de sa condidature au patrimoine de l’UNESCO.

Source : communiqué de presse.

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Toscana in Cammino, Regioni compatte verso la creazione di una rete condivisa

Sei regioni (Toscana, Liguria, Emilia Romagna, Umbria, Marche e Lazio) al lavoro per creare una rete di cammini interregionali e promuoverla attraverso la costruzione di un prodotto turistico complesso.

Un lavoro di squadra per realizzare un’offerta condivisa ed omogenea attraverso unità d’intenti e visione complessiva. Questo lo scopo del convegno “Toscana in cammino..verso le altre Regioni” che si è tenuto oggi (e si svolgerà anche domani) presso l’Abbazia di Spineto a Sarteano.

Tanti i temi messi in evidenza nel corso della sessione plenaria che ha coinvolto i rappresentanti istituzionali delle regioni coinvolte. 

Tutto questo – ha detto il Ministro al Turismo Gian Marco Centinaio in un messaggio trasmesso all’assemblea dei partecipanti – fa parte della narrazione Paese, dice qualcosa di noi, delle nostre origini, delle nostre tradizioni, del nostro saper fare. In questo contesto ho detto fin da subito quanto sia preziosa la sinergia con le Regioni con le quali voglio avere un rapporto diretto. I cammini si stanno rivelando uno strumento sempre più strategico ed efficace per promuovere quelle aree che maggiormente hanno necessità di incrementare la loro attrattività. Nelle linee programmatiche del Ministero dell’Agricoltura e del Turismo abbiamo deciso di puntare proprio sulla tutela e la promozione di questi paesaggi per valorizzare tutte queste mete, definite di “seconda fascia” ma altrettanto emozionanti. Le città d’arte sono ormai sature. Facciamo in modo allora che i turisti vengano ad ammirare quello che l’Italia può dare in termini di turismo alternativo. Ma offriamo loro anche servizi adeguati. E in questo, iniziative come quella presentata oggi da voi sono in linea con i nostri obiettivi

La Regione Toscana – afferma Stefano Ciuoffopromuove quest’incontro che rappresenta la prima occasione di dialogo sul tema dei cammini tra tutti gli attori coinvolti: Ministero, Regioni, Comuni e Associazioni. Un’opportunità per costruire un prodotto turistico con caratteristiche omogenee, aldilà dei confini regionali. Un modo per proporre un turismo ‘lento’, sostenibile, esperienziale che porta a scoprire, attraverso il cammino, i piccoli borghi del cuore dell’Italia”.

La tematica è importante e sentita, prova ne sono le numerose proposte di cammini avanzate negli ultimi tre anni da parte di Enti locali ed Associazioni. “Il lavoro sugli itinerari – ha ribadito Ciuoffo – permette di destagionalizzare i flussi turistici e di farli confluire nelle aree interne, consentendo un’opportunità di crescita e di sviluppo economico”. “La capacità di creare nuove vie fruibili in sicurezza – ha detto ancora l’assessore – deriva dalla unione di intenti tra gli attori pubblici coinvolti e l’associazionismo che si dedica a questi temi. Camminare significa recuperare una percezione interiore e una dimensione individuale attraverso l’interazione senza filtri con il paesaggio e con tutto ciò che ci circonda. Camminare significa anche unirsi e superare confini, acquisire capacità di osservazione e distinguere il bello dal brutto. Insomma tanti valori che permettono di creare condivisione e sopratutto, per tante realtà locali attraversate dai cammini, mantenimento delle realtà locali, permanenza di giovani e sopratutto rilancio economico“.

“I cammini – ha detto Moreno Pieroni assessore al turismo Regione Marche, intervenuto al dibattito in video conferenza – diventano una grande opportunità per le realtà più piccole. Un percorso molto complesso che oggi parte. Per le Marche diventa un’occasione importantissima soprattutto per le comunità colpite dal sisma. Sarebbe molto bello se la seconda parte di questo incontro, il prossimo anno, potesse tenersi in una di queste piccole realtà“.

La Toscana – ha aggiunto Andrea Corsini assessore al turismo Regione Emilia Romagna – per noi è stata quasi un modello, un punto di riferimento al quale ci siamo ispirati quando abbiamo deciso di avviare la strutturazione dei nostri cammini. Per noi è stato anche un modo per far sentire protagoniste dello sviluppo turistico regionale tante piccole realtà che si sono sentite trascurate. Adesso però è importante anche sapere se al governo attuale interessa ancora continuare a sviluppare un discorso avviato nella precedente legislatura. C’è un pò di inquietudine dopo l’esito del bando per le periferie. L’unione di intenti che abbiamo subito trovato con le altre regioni però ci fa ben sperare”.

“Auspico – ha quindi proseguito Fabio Paparelli, vicepresidente Regione Umbria – che su questo versante si possa entrare nella fase operativa e che anche il Mibact continui ad starci accanto. Dobbiamo portare a compimento un lavoro importante già in parte avviato dalle singole amministrazioni regionali. E occorre farlo avendo sempre in mente tre elementi: sostenibilità, accessibilità e innovazione. Tutto questo diventa importante per arrivare a un’offerta omogenea e strutturata anche a livello nazionale. La sinergia tra le regioni centrali deve diventare sempre più forte”.

Conclusione affidata a Marta Eleonori, consigliere Regione Lazio che ha spiegato che “i cammini rappresentano la sintesi di tutto quanto di bello l’Italia è in grado di esportare, attraverso un turismo diffuso e sostenibile. Il Lazio ha dedicato un assessorato a questo ed avviato tante azioni importanti. Ritengo che la tecnologia, che al camminatore tradizionale può apparire qualcosa di estraneo, possa giocare un ruolo determinante per la promozione, l’informazione, l’offerta di servizi, l’abbattimento di barriere fisiche e non“.

I lavori, organizzati in collaborazione con AEVF (Associazione Europea delle Vie Francigene) proseguiranno nel pomeriggio e nella giornata di domani. Sono stati individuati 5 cammini interregionali ‘pilota’ (Via Lauretana, Via degli Dei, I Cammini di Francesco, Via Matildica del Volto Santo, Via Clodia) e quattro ambiti operativi e strategici: manutenzione, accoglienza, promozione e governance, su cui tutti gli attori per ogni singolo cammino (Regioni, Comuni, Associazioni) potranno confrontarsi per sviluppare una strategia comune. Per condurre il dialogo in modo organico e costruttivo, ci si avvarrà di strumenti tecnologici ad hoc che faciliteranno la co-progettazione. I partecipanti potranno interagire e votare con gli smartphone durante le fasi dell’evento e le sessioni di brainstorming e contribuire agli interventi dei relatori, visualizzando i risultati in tempo reale.

I contributi dei partecipanti e gli impegni presi dalle Regioni confluiranno, alla fine dei lavori, nel documento: “Carta di Spineto” che segnerà le future linee guida per le azioni sui cammini dell’Italia centrale.

LA TOSCANA

Dialogare con le altre regioni dell’Italia centrale per arrivare alla costruzione di un rete interregionale di cammini omogenea e condivisa. Dalla Toscana investimenti importanti a partire dal 2009, oltre 21 milioni di euro: principalmente sulla Francigena, che rappresenta la colonna vertebrale della rete. Adesso prende avvio una fase successiva che punta a mettere in rete il resto dei cammini presenti in regione collegandoli con quelli promossi dalle altre confinanti.

La Toscana, ai 20 milioni investiti a partire dal 2009 sulla via Francigena per la sua messa in sicurezza, dotazione di segnaletica e di punti sosta e realizzazione di punti tappa con Ostelli, ha aggiunto più recentemente somme più piccole ma non meno importanti: 370.000 euro sulle vie Etrusche, 50.000 euro sulla Romea Strata, anche queste finalizzate alla messa in sicurezza ed alla segnaletica; sono stati aggregati i Comuni sulla Via Lauretana con cui è stato definito un piano di interventi prioritari di messa in sicurezza e segnaletica per circa 300.000 euro che la Regione presenterà al Ministero per il finanziamento. Ancora più complessa è stata l’operazione che ha permesso di aggregare 26 Comuni delle Vie di Francesco che hanno presentato schede di interventi per circa 2 milioni per la messa in sicurezza ed ulteriori progetti per interventi di miglioramento che verranno presentati sempre al Ministero. Inoltre saranno a breve avviati dei bandi riservati ai Comuni (per circa 400 mila euro) per il finanziamento della segnaletica dei percorsi che ancora non ne dispongono a condizione che i Comuni abbiano stipulato una convenzione per la gestione associata del cammino. Attivata anche una collaborazione con l’Università di Firenze che ha permesso di qualificare gli interventi e le proposte dei Comuni che si sono avvalsi di questo supporto scientifico; avviato un confronto con i rappresentanti della Conferenza Episcopale Toscana che ha dato vita ad una preziosa indagine sulle emergenze religiose.

Cammini sempre in crescita. In questi ultimi tre anni sono state avanzate da parte degli Enti locali ed Associazioni molte proposte di cammini: dalla Via del Volto Santo da Pontremoli a Lucca 60 Km alla Via Matildica da Mantova a Borgo a Mozzano 160 Km, La Via Ducale da Lucca a Parma 130 km, La Via degli Dei da Firenze a Bologna 80 km, La Romea Strata dai Paesi Baltici a Fucecchio 1300 Km, La Romea Germanica dai paesi scandinavi a Radicofani 1100 Km, Via di Dante da Firenze a Ravenna 130 Km, Cammini di Francesco da Santa Croce al Sacro Eremo di La Verna e da Arezzo- Cortona al Sacro Eremo di La Verna e da La Verna ad Assisi circa 400 Km, Vie Etrusche che collegano le città Etrusche compresa la Via Clodia che parte da Roma e giunge a Roselle, Via Lauretana che collega Siena a Loreto, La Linea Gotica una testimonianza che attraversa la Toscana fino alle Marche. Come dimenticarsi della principale via Francigena di cui la Toscana si è fatta promotrice della sua candidatura a patrimonio UNESCO.

Fonte: comunicato stampa

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La flamme olympique sur la Via Francigena, le porteur de la flamme participera lui aussi à l’ultramarathon

« La flamme olympique est un symbole de paix, de sportivité, de fraternité et de partage. Je suis prêt à l’emmener avec moi sur la Francigena » a annoncé Gianpaolo Fattori, un des 19 porteurs italiens qui en janvier 2018 a porté la flamme olympique en Corée du Sud, à l’occasion des XXIII Jeux Olympiques d’Hiver de Pyeongchang.

Le 27 octobre, il participera au World Francigena Ultramarathon en tant que marcheur, mais avec l’expérience de porteur de la flamme olympique dans le cœur.

Classe 1958, originaire de la province de Cremone, Gianpaolo a été sélectionné pour le concours lancé par Samsung Italie (parmi les sponsors des jeux olympiques) « Cours pour le rêve, devient porteur de la flamme olympique » et le 5 janvier dernier, il a parcouru les 300 m avec la flamme olympique à Suwon, siège de la Coupe du Monde de Football en 2002, qui se trouve à 30km de Séoul. Une expérience unique vécue grâce à la passion pour le sport et à l’esprit olympique tatoué sur la peau. Depuis, il partage cette émotion avec les autres, souvent pour des œuvres de bienfaisance, et il est prêt à le faire aussi sur la Francigena. Le porteur s’est inscrit au marathon qui partira de Sienne et parcourra les 65 km de l’étape de San Quirico d’Orcia le soir du 27 octobre jusqu’à la destination finale : Acquapendente.

« Cette torche sera avec moi à l’Ultramarathon, prête à être partagée avec les autres marcheurs, parce qu’elle représente un symbole de paix, de fraternité et de loyauté – raconte Gianpaolo – s’il y avait la possibilité de faire un relais de Sienne à Acquapendente ou de San Quirico d’Orcia entre les participants ce serait magnifique ».

Depuis ce 5 janvier en Corée, la torche n.66-27 est restée aux côtés de Gianpaolo. « Je me rappelle très bien de ce moment. C’était le 66ème jour de relais pour la flamme partie d’Athènes et j’étais le 27ème porteur du jour, le premier des italiens, un grand honneur. L’organisation nous avait donné la divise de porteur et les torches, nous sommes montés dans un bus et à partir de là, nous avons vu sur les écrans le relais en direct mondial. Puis mon tour est arrivé. Entre le public en fête, la sécurité et les flashs des photographes, je me suis mis en position, un employé à ouvert le gaz de la torche et le moment est arrivé : le passage de la flamme olympique d’une torche à l’autre. J’ai reçu la flamme d’un garçon coréen, nous avons simulé un selfie. J’ai marché 3 minutes et puis, en tant que diabétique, j’ai passé la flamme à mon ami William Palamera, le jeune président de Diabetes Marathon www.diabetesmarathon.it, un évènement sportif solidaire qui soutient la lutte contre le diabète. La chaine humaine des porteurs s’est poursuivie jusqu’au Château de Suwan où le brasier a été allumé le soir ».

Le 9 février, le dernier porteur a allumé le brasier qui se trouve dans le stade olympique de Pyeongchong décrétant le début officiel des jeux d’Hiver. Aujourd’hui, cette torche est encore dans les mains de Gianpaolo et elle est prête à amener un peu d’esprit des jeux olympiques en chemin.

Comment est venue l’idée de participer au marathon ? « L’idée des longs chemins est arrivée grâce à l’invitation que m’a adressé le porteur et ami Giorgio Scuri de faire la Bergamo Refuge Calvi, une marche pour www.armr.it, dont il est témoin et qui reparcourt le même trajet que fit l’alpiniste Egidio Gherardi avec les béquilles, il y a 40 ans de ça, sous la neige – explique M Fattori – La marche a été effectuée avec succès le 30 septembre dernier. Après quoi, j’ai trouvé ce marathon et je me suis inscrit. Et je me suis dit : pourquoi ne pas amener un symbole de paix sur la voie de pèlerinage vers Rome ? j’essaie de faire tourner la flamme, pas pour popularité personnelle, c’est elle le centre de l’attention et ce qu’elle représente – ajoute enfin le porteur – Je l’emporte en chemin puis nous verrons ce qu’il arrive ».

Une nouvelle aventure mais pas un début pour Gianpaolo : en 1984, le porteur est parti de chez lui à vélo pour rejoindre Rome. Aujourd’hui, il s’intéresse à la Francigena et espère la parcourir à pied en partant du Grand Saint Bernard. Pendant ce temps, le World Francigena Ultramarathon l’attend. Le marathon à pas lent partira très bientôt et la flamme olympique est prête à débarquer sur la Francigena. Il ne reste plus qu’à se mettre en chemin et porter le symbole olympique à destination.

Silvia Iuliano

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La torcia olimpica sulla Francigena, alla Ultramarathon parteciperà anche il tedoforo Fattori

La torcia olimpica è un simbolo di pace, sportività, fratellanza e condivisione. Sono pronto a portarla con me sulla Francigena”. Ad annunciarlo è Gianpaolo Fattori, uno dei diciannove tedofori italiani che a gennaio 2018 hanno portato la fiaccola olimpica in Corea del Sud, in occasione dei XXIII Giochi Olimpici invernali di Pyeongchang

Il 27 ottobre parteciperà alla World Francigena Ultramarathon come camminatore ma con l’esperienza nel cuore da tedoforo.

Classe 1958 originario della provincia di Cremona, Gianpaolo è stato selezionato al concorso indetto dalla Samsung Italia (tra gli sponsor delle Olimpiadi) “Corri per il sogno, diventa tedoforo” e il 5 gennaio scorso ha percorso i suoi 300 metri con la fiamma olimpica nella staffetta a Suwon, sede dei Mondiali di Calcio del 2002 che si trova a 30 km da Seul. Un’esperienza unica vissuta grazie alla passione per lo sport e ad un spirito olimpico tatuato sulla pelle. Da allora condivide questa emozione con gli altri, spesso anche per cause benefiche, ed è pronto a farlo anche sulla Francigena. Il tedoforo si è iscritto alla maratona che prenderà il via da Siena e percorrerà la tappa di 65 km da San Quirico d’Orcia la sera del 27 ottobre fino alla meta finale: Acquapendente.

Quella fiaccola sarà con me alla Ultramarathon, pronta ad essere condivisa con gli altri camminatori, perché rappresenta un simbolo di pace, di fratellanza e di lealtà – ci racconta Gianpaolo – se ci fosse la possibilità di fare una staffetta da Siena ad Acquapendente o da San Quirico d’Orcia tra i partecipanti sarebbe bellissimo”.

Da quel 5 gennaio in Corea, la fiaccola n.66-27 è rimasta al fianco di Gianpaolo. “Ricordo benissimo quel momento. Era il 66° giorno di staffetta per la fiaccola partita da Atene ed io ero il 27° tedoforo di quel giorno, il primo degli italiani, un grande onore – racconta – L’organizzazione ci aveva consegnato la divisa da tedofori e le torce, siamo saliti sul pullman e da lì abbiamo visto sui monitor in diretta mondiale la staffetta. Ad un certo punto è arrivato il mio turno. Tra il pubblico in festa, la sicurezza e gli scatti degli fotografi, mi sono messo in posizione, un addetto ha aperto il gas della fiaccola ed è arrivato il momento: il bacio tra le torce con il passaggio della fiamma olimpica. Il fuoco l’ho ricevuto da un ragazzo coreano, abbiamo simpaticamente simulato un selfie. Ho camminato per tre minuti e poi da diabetico ho passato il fuoco all’amico William Palamara, il giovane Presidente di Diabetes Marathon www.diabetesmarathon.it, un evento sportivo solidale a sostegno della lotta contro il Diabete. La catena umana di tedofori è proseguita fino al Castello di Suwan dove la sera è stato acceso il braciere”.

Il 9 febbraio, l’ultimo tedoforo ha acceso il bracere che si trova all’interno dello stadio olimpico di Pyeongchang decretando l’inizio ufficiale dei Giochi invernali. Oggi quella torcia è ancora tra le mani di Gianpaolo ed è pronta a portare un po’ di olimpiadi in cammino.

Come è nata l’idea di partecipare alla maratona? “L’idea dei lunghi cammini arriva grazie all’invito che mi ha rivolto l’amico e tedoforo Giorgio Scuri di fare la Bergamo Rifugio Calvi, una camminata a favore di www.armr.it, di cui è testimone e ripercorre lo stesso tragitto che fece l’alpinista con le stampelle Egidio Gherardi 40 anni fa, sotto la neve per 62 km – spiega Fattori – la camminata è stata effettuata con successo il 30 settembre scorso. Dopodiché ho trovato questa maratona e mi sono iscritto. Poi mi sono detto: perché non portare un simbolo di pace sulla Via di pellegrinaggio verso Roma? Cerco di fare girare la fiaccola non per notorietà personale, la protagonista è lei e quello che rappresenta – aggiunge infine il tedoforo – Io la porto in cammino poi vediamo quello che succede”.

Una nuova avventura ma non un debutto per Gianpaolo: nel 1984, il tedoforo è partito da casa in bicicletta alla volta di Roma. Oggi guarda alla Francigena con interesse e spera di percorrerla a piedi dal Gran San Bernardo. Intanto la World Francigena Ultramarathon lo aspetta. La maratona a passo lento è alle porte e la torcia olimpica è pronta a sbarcare sulla Francigena. Non resta che mettersi in cammino e portare il simbolo olimpico alla meta.

Silvia Iuliano

© Riproduzione riservata

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A Rome, les peintures murales consacrées au chemin

Les rues de Rome célèbrent le chemin grâce au street art dans le quartier de Trullo avec deux nouvelles peintures murales qui, pour la première fois en Italie, sont consacrées au chemin.

Les œuvres ont été réalisées par les artistes Moby Dick et Manuela Merlo dans le cadre de l’initiative « Périphérie des merveilles. Trullo Corviale en chemin », créée par Ilaria Canali pour la Journée de la Marche le 24 octobre dernier. Le projet a conduit à la naissance d’un nouveau parcours urbain tracé par le guide randonneur Fabio Giuliani de ACER qui a guidé les marcheurs de Trullo à Corviale, en passant par des canaux verts cachés dans la ville. L’événement a été réalisé en collaboration avec les accompagnateurs, Perifera, Comunicazione in Cammino, Italia a piedi.

L’œuvre de Moby Dick représente la girafe noire qui a été tuée l’année dernière par une chasseuse américaine suscitant l’indignation sur les réseaux sociaux. Marco Tarascio, nom d’artiste Moby Dick, a toujours été actif pour la défense des animaux et a accepté l’invitation à la journée de la marche en utilisant son art pour « lancer un message à ceux qui n’ont pas la parole, les animaux. Dans un parcours de communication très proche du projet #PeriferiadelleMeraviglie ». Le dessin de Manuela Merlo représente un des moments les plus intenses du film « Uccellacci e Uccellini » (Des oiseaux, petits et gros) de Pasolini qui se déroule lui-aussi à Montecucco. Dans le tableau, le chemin fait naitre des fleurs sur les empreintes de Totò et de Ninetto Davoli.

« Une œuvre d’art réalisée sur un mur d’une ville est capable de transmettre un message ouvert à tous et de l’amplifier par la relation avec les passants. Ces deux peintures murales sont un cadeau pour tous les marcheurs et ils aideront la périphérie merveilleuse à se promouvoir encore plus. Ils représentent un signal positif de synergie entre ceux qui croient en les valeurs de l’écologie et de la durabilité transmises par le chemin et ceux qui, sur la route, offrent leur art et leur poésie comme les artistes de rue. Ce sont deux gestes qui célèbrent la beauté » a dit l’organisatrice Ilaria Canali, active depuis des années dans la promotion des chemins en Italie, qui a souligné l’importance de la participation par le bas de nombreux citoyens du quartier et la collaboration de Mario D’Amico avec les Pittori Anonimi de Trullo.

La marche du 14 octobre a été l’occasion pour éclairer les projecteurs sur la richesse du ferment culturel d’une périphérie de Rome avec ses panoramas sur l’Eur et l’anse du Tevere de Montecucco, la Tour Righetti, les ruines de Villa Kock et Villa Baccelli, les peintures murales d’artistes extraordinaires comme Gomez, Solo, Moby Dick, et les poésies de rue comme celles d’Ivan Tresoldi et Gio Evan, dont plusieurs versets ont été lus durant le chemin.

Le parcours, qui a réalisé une formation diffuse en chemin grâce aux contributions de nombreux chercheurs et experts du territoire dont Antonello Anappo, l’architecte Gianfilippo Lo Masto et Luigi Plos, a reçu une très forte adhésion autant de la part des citoyens que du monde des marcheurs avec la présence des représentants d’importants projets comme il Cammina Molise, il Cammino Naturale dei Parchi, la Francigena Tuscany Marathon et de membres d’associations des filiales de Federtrek comme Ogniquota, Movimento Tellurico et Montagna Libera.

La marche s’est arrêtée au Campo dei Miracoli, à Corviale, siège du Football Social et de Radio Impegno, lieu de légalité et centre de promotion de cohésion sociale. Massimo Vallati, responsable du projet de Football Social a affirmé à propos de l’initiative qu’ « elle a donné la parole et la vie à une réalité, comme celle de Corviale, trop souvent oubliée. Les périphéries sont une valeur pour la ville et doivent être redécouvertes et valorisées. Le chemin #TrulloCorviale a permis de regarder d’un angle différent la périphérie en cueillant les aspects qu’un coup d’œil rapide n’arrive pas à voir. Avoir accueilli les marcheurs au Campo dei Miracoli a été très important pour nous. Le travail que nous faisons chaque jour avec nos initiatives et avec Radio Impegno est justement de favoriser le retour de la périphérie. #TrulloCorviale en chemin est un pas en plus dans cette direction ».

Source : communiqué de presse // Photo : Cristina Cutarelli

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A Roma i murales dedicati al cammino

Le strade di Roma celebrano il cammino e lo fanno grazie alla street art nel quartiere del Trullo con due nuovi murales che, per la prima volta in Italia, sono dedicati al camminare.

Le opere sono state realizzate dagli artisti Moby Dick e Manuela Merlo nel quadro della iniziativa “Periferia delle Meraviglie. Trullo Corviale in cammino”, ideata da Ilaria Canali per la Giornata del Camminare del 14 ottobre scorso. Il progetto ha portato alla nascita di un nuovo percorso urbano tracciato dalla guida escursionistica Fabio Giuliani di ACER che ha guidato i camminatori dal Trullo a Corviale, passando attraverso dei canali verdi nascosti nel tessuto della città. L’evento è stato lanciato nell’ambito della attività di progettazione dei volontari di Federtrek ed è stato realizzato in collaborazione con gli accompagnatori, Perifera, Comunicazione in Cammino, Italia a piedi.

L’opera di Moby Dick rappresenta la giraffa nera che lo scorso anno fu uccisa da una cacciatrice americana suscitando una grande indignazione sui social. Marco Tarascio, in arte Moby Dick, è da sempre attivo sul fronte della difesa degli animali ed ha accolto l’invito a partecipare alla giornata del camminare facendo dono della sua arte per “lanciare un messaggio per chi non ha voce, gli animali. In un percorso di comunicazione molto vicino a quello del progetto #PeriferiadelleMeraviglie”. Il disegno di Manuela Merlo invece rappresenta uno dei momenti più intensi del film Uccellacci e Uccellini di Pasolini che si ambienta proprio a Montecucco. Nel dipinto il cammino fa nascere dei fiori sulle impronte di Totò e Ninetto Davoli.

“Un’opera d’arte realizzata sulla parete di un muro di una città è in grado di veicolare un messaggio aperto a tutti e amplificarlo nella relazione con i passanti. Questi due murales sono un regalo per tutti i camminatori e aiuteranno una periferia meravigliosa a promuoversi ancora di più. Rappresentano un segnale positivo di sinergia tra chi crede nei valori della ecologia e della sostenibilità veicolati dal camminare e chi, sulla strada, fa dono di arte e poesia come gli street artist. Sono entrambi gesti che celebrano la bellezza”, dice l’organizzatrice Ilaria Canali, attiva da anni nella promozione dei cammini in Italia, che ha sottolineato come sia stato importante la partecipazione dal basso di tanti cittadini del quartiere e la collaborazione di Mario D’amico con i Pittori Anonimi del Trullo.

Il cammino del 14 ottobre è stato l’occasione per accendere i riflettori sulla ricchezza del fermento culturale di una periferia di Roma con i suoi scorci panoramici sull’Eur e l’ansa del Tevere da Montecucco, Torre Righetti, i ruderi di Villa Kock e Villa Baccelli, i murales di artisti straordinari come Gomez, Solo, Moby Dick, e le poesie di strada tra cui quelle di Ivan Tresoldi e Gio Evan, di cui sono stati letti vari versi nel corso del cammino.

Il percorso, che ha realizzato una formazione diffusa in cammino grazie ai contributi di tanti studiosi ed esperti del territorio tra cui Antonello Anappo e l’arch. Gianfilippo Lo Masto, Luigi Plos, ha ricevuto una fortissima adesione sia da parte della cittadinanza che dal mondo dei camminatori con la presenza di rappresentanti di importanti progetti come il Cammina Molise, il Cammino Naturale dei Parchi, la Francigena Tuscany Marathon e di soci di associazioni affiliate Federtrek come Ogniquota, Movimento Tellurico e Montagna Libera.

Il cammino si è chiuso al Campo dei Miracoli, a Corviale, sede del Calcio Sociale e di Radio Impegno, presidio di legalità e di centro di promozione di coesione sociale. Massimo Vallati, responsabile del progetto del Calcio Sociale sull’iniziativa ha affermato che “ha dato voce e vita a una realtà, come quella di Corviale, troppo spesso dimenticata. Le periferie sono un valore per la città e devono essere riscoperte e valorizzate. Il cammino #TrulloCorviale ha permesso di guardare da una prospettiva diversa la periferia cogliendone aspetti che uno sguardo frettoloso spesso non riesce a vedere.  Aver accolto i camminatori al Campo dei Miracoli è stato per noi molto importante. Il lavoro che facciamo ogni giorno con le nostre iniziative e con Radio Impegno è volto proprio a favorire il riscatto della periferia. #TrulloCorviale in cammino è un passo in più verso questa direzione”.

Fonte: Comunicato Stampa // Foto: Cristina Cutarelli

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Via Francigena Thermale, le projet est lancé en Toscane

Via Francigena Thermale en Toscane part officiellement. Le projet, présenté le 10 octobre au siège de la région Toscane à Florence, a pour objectif d’offrir un service à ceux qui font le chemin et désirent élargir leur expérience de pèlerins à travers le bien-être.

L’initiative a comme chef de file la commune de Gambassi Terme et elle est réalisée par la région Toscane, l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena (AEVF) avec la collaboration de FEDETERME et ANCOT.

Six sociétés thermales adhèrent au projet dans les communes de Gambassi Terme, Chianciano, Fivizzano, Montecatini, Montepulciano et Sorano. Il s’agit d’une opportunité autant pour les communes de la Francigena que pour les structures thermales : un projet qui accroit la possibilité des territoires de se qualifier. Les structures thermales s’engagent à proposer une offre adéquate au pèlerin en ce qui concerne le transport, l’accueil et le soin du corps avec des moments de bien-être thermal et des tarifs réduits pour les pèlerins et les touristes de la Via Francigena pourvus de la crédenciale officielle de l’AEVF.

Le maire de Gambassi Terme, Paolo Campinotti, a souligné que les opportunités qui se présentent doivent être saisies et valorisées : « La Via Francigena a créé la possibilité d’élargir le réseau et l’offre thermale traditionnelle. Le projet nait comme proposition pilote à étendre aux autres régions de la Via Francigena ».

Le président de l’AEVF, Massimo Tedeschi, et Raffaelle Mannelli de la région Toscane ont exprimé leur satisfaction pour le nouveau projet qui nait autour de la Via Francigena, en soulignant l’importance d’un lien fort entre les structures thermales privées et les administrations locales afin d’activer une coordination bien structurée.

Durant la présentation, l’activité préparatoire pour lancer le projet a été illustrée : un cahier des charges partagé entre les structures thermales et les communes, un site web spécifique sur le portail européen des Chemins de la Via Francigena, une brochure trilingue et un recueil des offres thermales pour les randonneurs qui utilisent la crédenciale officielle de la Via Francigena. L’objectif est de consolider le réseau et de l’étendre aux régions européennes traversées par la Via Francigena.

Giuseppe Bellandi, maire de Montecatini et président du réseau européen des villes historiques thermales (EHTTA), a souligné l’importance d’un itinéraire culturel européen comme la Via Francigena en tant que moyen pour impliquer d’autres itinéraires culturels. Le Chemin de Saint Jacques propose déjà un binôme entre chemin et eau thermale. Un autre exemple flagrant est la ville romaine de Ourense qui se trouve sur la Via della Plata, capitale thermale de la Galice. Les itinéraires culturels, quand ils se croisent et se mettent en synergie, multiplient les opportunités de développement d’un territoire.

La présidente de l’ANCOT (Association Nationale des Communes Thermales) Franca Roso et Luigi Fasano de Federterme sont intervenus à la rencontre de présentation et ils ont assuré leur soutien au projet.

Pour plus d’informations sur l’initiative, les propositions thermales et les lieux engagés, vous pouvez visiter le site : www.viefrancigene.org.

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Via Francigena Termale, the project launches in Tuscany

Officially part of Via Francigena termale in Tuscany. The project, presented on 10th October at the headquarters of the Region of Tuscany in Florence, aims to offer a service to those who make the journey and want to broaden the pilgrim experience through a proposal dedicated to well-being.

The initiative is headed by the municipality of Gambassi Terme and is implemented by Regione Toscana, the European Association of Via Francigena Ways (EAVF) in collaboration with FEDERTERME and ANCOT.

There are six spa societies that have joined the project in the municipalities of Gambassi, Chianciano, Fivizzano, Montecatini, Montepulciano, Sorano. This is an opportunity both for the municipalities of the Francigena and for the spa facilities: a project that increases the possibilities of the territories involved. The spa facilities offer pilgrim services, including transport, hospitality and treamtment and discounted rates to pilgrims and tourists of the Via Francigena with the official EAVF Pilgrim Passport.

The mayor of Gambassi Terme, Paolo Campinoti, stressed that the opportunities that arise should be seized and enhanced: “The Via Francigena has created the possibility of extending the network and the traditional spa offer.The project was born as a pilot proposal to be extended to other regions of the Via Francigena“.

The EAVF President, Massimo Tedeschi, and Raffaelle Mannelli of the Region of Tuscany, expressed satisfaction with the new project that was born around the Via Francigena, underlining the importance of a strong link between private spa facilities and local administrations in order to activate a well-structured coordination.

During the presentation, the preparatory activity the beginning of the project was illustrated: regulations shared with thermal and common facilities, a dedicated website within the portal of the Via Francigena Ways, the trilingual brochure and the collection of spa packages for hikers who use the official credential of the Via Francigena. The goal is to consolidate the network and extend it to the European regions crossed by the Via Francigena.

Giuseppe Bellandi, Mayor of Montecatini and President of the European Network of Historical Spa Towns (EHTTA), underlined the importance of a European cultural route, such as the Via Francigena, as a means of involving other cultural routes. The path of Santiago, has already proposed a combination of walking and thermal water. An example above all is the Roman city of Ourense which is located on the Via della Plata, the thermal capital of Galicia. Cultural routes, when crossed create synergy, they multiply the opportunities for the development of a territory.

The meeting was attended by the President ANCOT (National Association of Thermal Municipalities), Franca Roso and Luigi Fasano of FEDERTERME who assured maximum support to the project.

For information on the initiative, the spa proposals and the stations involved, visit www.viefrancigene.org

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Via Francigena termale, parte il progetto in Toscana

Parte ufficialmente Via Francigena termale in Toscana. Il progetto, presentato il 10 ottobre presso la sede della Regione Toscana a Firenze, ha l’obiettivo di offrire un servizio a chi fa il cammino e desidera ampliare l’esperienza del pellegrino attraverso una proposta dedicata al benessere.

L’iniziativa, ha come capofila il comune di Gambassi Terme ed è realizzata da Regione Toscana, Associazione Europea delle Vie Francigene (AEVF) con la collaborazione di FEDERTERME ed ANCOT.

Sono sei le società termali che aderiscono al progetto nei comuni di Gambassi, Chianciano, Fivizzano, Montecatini, Montepulciano, Sorano. Si tratta di una opportunità sia per i comuni della Francigena che per le strutture termali: un progetto che accresce le possibilità dei territori di qualificarsi. Le strutture termali si impegnano con un’offerta adeguata al pellegrino legata al trasporto, all’accoglienza e alla cura del corpo con momenti di benessere termale e tariffe agevolate ai pellegrini ed ai turisti della Via Francigena provvisti di credenziale ufficiale di AEVF.

Il sindaco di Gambassi Terme, Paolo Campinoti, ha sottolineato che le opportunità che si presentano vanno colte e valorizzate: “La Via Francigena ha creato la possibilità di ampliare la rete e l’offerta termale tradizionale. Il progetto nasce come proposta pilota da estendere alle altre regioni della Via Francigena“.

Il Presidente AEVF Massimo Tedeschi Raffaelle Mannelli di Regione Toscana hanno espresso soddisfazione per la nuova progettualità che nasce intorno alla via Francigena, sottolineando l’importanza di un forte collegamento tra strutture termali private e amministrazioni locali al fine di attivare un coordinamento ben strutturato.

Durante la presentazione, è stata illustrata l’attività preparatoria per far avviare il progetto: un disciplinare condiviso con strutture termali e comuni, un sito web dedicato all’interno del portale europeo delle Vie Francigene, la brochure trilingue e la raccolta di pacchetti termali per gli escursionisti che utilizzano la credenziale ufficiale della via Francigena. L’obiettivo è di consolidare la rete e di estenderla alle regioni europee attraversate dalla Via Francigena.

Giuseppe Bellandi, Sindaco di Montecatini e Presidente della rete europea delle città storiche termali (EHTTA), ha sottolineato l’importanza di un itinerario culturale europeo come la Via Francigena come mezzo per coinvolgere altri itinerari culturali. Il cammino di Santiago, già oggi propone un binomio fra cammino e acqua termale. Un esempio su tutti è la città romana di Ourense che si colloca sulla via della Plata, capitale termale della Galizia. Gli itinerari culturali, quando si incrociano e si mettono in sinergia, moltiplicano le opportunità di sviluppo di un territorio.

All’incontro di presentazione, sono intervenuti la Presidente ANCOT (Associazione Nazionale Comuni Termali), Franca Roso e Luigi Fasano di FEDERTERME che hanno assicurato massimo supporto al progetto.

Per informazioni sull’iniziativa, le proposte termali e le stazioni coinvolte,  è possibile visitare il sito www.viefrancigene.org

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Prix Via Francigena, le délai pour l’envoi des travaux a été prolongé

L’échéance pour la participation au prix littéraire « Intanto Parto… racconti e parole in cammino » a été repoussée. Les travaux pourront être envoyés jusqu’au 18 novembre 2018 (la première échéance avait été fixée au 15 octobre 2018).

Arrivé à sa deuxième édition, le prix littéraire, promu et créé par la maison d’édition Betti, est consacré aux récits inédits d’auteurs, débutants ou pas, qui savent raconter le voyage le long de la Via Francigena et les Chemins. En plus des plus de 25 ans, cette année est dédiée en particulier au public des plus jeunes, en redéfinissant la participation selon l’âge : une section est adressée aux moins de 25 ans – filles et garçons nés après le 1 janvier 1993.

« Etant donné l’intérêt général démontré ces derniers mois, nous avons retenu opportun de donner un mois en plus pour l’envoi des récits sur le voyage et sur le sens du chemin. Jusqu’à minuit du 18 novembre, vous pourrez envoyer votre récit par email à l’adresse premiofrancigena@betti.it ou par la poste, dans une enveloppe fermée, à Betti Editrice à l’adresse : Strada delle Torri Cimate, 53035 Monteriggioni (SI), selon les modalités indiquées sur l’avis de concours » expliquent les organisateurs.

Dans la section des moins de 25 ans, les jeunes qui fréquentent les lycées et qui présentent une déclaration d’exonération seront exemptés du paiement des frais d’inscription. Pour chacune des deux catégories, 10 récits seront choisis qui seront ensuite publiés dans deux recueils édités par Betti Editrice, distribués et promus sur le territoire national.

Les cérémonies de remise des prix auront lieux à Monteriggioni (SI) et à Pontremoli (MS) au début de l’année 2019 ; la date est encore à définir. Des prix ajoutés pour des mentions spéciales seront communiqués dans les prochains mois.

La deuxième édition du prix a comme partenaire principal l’Association Européenne des Chemins de la Via Francigena (AEVF) et la région Toscane et elle est réalisée grâce à la contribution des communes chefs de file de la Via Francigena en Toscane (Pontremoli, Lucques, Fucecchio et Sienne) qui représentent l’ensemble des 39 communes, et les administrations de Pontremoli et de Monteriggioni qui accueilleront respectivement les cérémonies de remise des prix. Parmi les partenariats activés, l’importante collaboration avec l’Institut de Culture Italienne à Cracovie qui assistera les cérémonies de remise des prix, ainsi que les activités mises en place avec les associations et organismes du territoire, dont l’Association Toscana delle Vie Francigene.

Pour plus d’informations, écrire à :  premiofrancigena@betti.it ou appeler le numéro : +39 351 8353373

Toutes les mises à jour sur le prix sur facebook.com/premiofrancigena/ ou sur le site www.betti.it