Via Francigena

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Zoom sur une commune française adhérente : Ornans

Déployé dans un écrin de verdure au cœur de la Vallée de la Loue, Ornans, en région Bourgogne-Franche-Comté, est un centre culturel et artistique situé au cœur du premier plateau du Massif du Jura.

Atypique, aquatique, artistique…. Authentique à coup sûr, cette cité de caractère est surnommée « La petite Venise du Doubs » en référence à ses maisons si pittoresques campées sur pilotis au bord de la Loue.

Si Ornans a connu une occupation humaine assez ancienne, la ville apparait dans les textes à la fin du XIieme siècle. A cette époque un château existait déjà sans que l’on puisse définir une date de construction. Une chapelle fut construite en 1289 par Othon IV : la chapelle Saint Georges , encore existante aujourd’hui. Ornans bénéficie également d’un patrimoine très riche avec douze monuments historiques classés, et de nombreux hôtels particuliers.

Gustave Courbet, peintre et sculpteur (1819-1877), chef de file du courant réaliste, laissa une emprunte sans précédent à Ornans. Une grande partie de ses œuvres a été réalisée dans la vallée de la Loue. Son musée a pris une ampleur nationale et internationale avec le retour du fameux « chêne de Flagey » et ses nombreuses expositions de qualité.

La ville offre aux touristes une large gamme d’activités de plein air, grâce à la rivière qui la traverse et aux falaises qui l’environnent : c’est un formidable terrain de jeux pour le canoë, la via ferrata, le VTT, la pêche, la randonnée, ou encore l’escalade.

Son centre Nautiloue propose également un espace ludique et touristique hors pair avec plusieurs bassins, un pentagliss, le tout à proximité d’un camping 3étoiles et d’une base Nautique.

L’énergie d’un monde associatif local permet aussi à Ornans de se distinguer dans d’autres manifestations exceptionnelles telles que les traditionnelles journées Art et Artisanat en été, ses brocantes, son traditionnel et chaleureux marché de Noël lors du premier dimanche de l’Avent. Sans oublier le sport avec l’X Trêm sur Loue, randonnées et courses de VTT longues distances de renommée internationale. Cette année cette épreuve sera qualificative pour les championnats du monde marathon 2017.

Ornans a su conjuguer avec succès la mise en valeur de son passé, avec la volonté de faire croître sa fonction économique. Orné et valorisé par son tissu local d’artisans d’art, Ornans est devenu un pôle économique d’importance, avec notamment la présence de sites industriels tels que Alstom, Guillin Emballages, ITW Rivex, DDLG Décolletage Luxe.

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Rencontre au sujet de Compostelle en Ligurie : réflexion sur le futur des chemins

Suivre l’évolution des chemins avec un regard en direction de la Terre Sainte. Le 15ème rendez-vous au sujet de Compostelle en Ligurie, qui s’est déroulé à Gênes Nervi les 25-26 février derniers, a offert un moment de réflexion sur l’accueil, les projets et le futur des pèlerins.

« La rencontre – explique Paolo Caucci Von Saucken, Recteur de la Confrérie de Saint Jacques de Compostelle – a été utile pour clarifier tout ce qui a été fait. Le     Chemin de Saint Jacques change constamment comme celui de la Via Francigena et chaque année nous devons le réajuster en fonction de l’évolution des pèlerinages ».

Une évolution qui élargit les frontières et unit les trois pèlerinages majeurs : Saint Jacques, Rome et Jérusalem. L’attention de la Confrérie se concentre, en effet, sur la promotion et l’accueil des pèlerins en Terre Sainte. A ce propos, en septembre 2016, l’auberge des Saints Chiara et Giacomo dans le complexe du monastère des Clarisses à Jérusalem a été inaugurée.

Il s’agit d’une initiative en phase d’expérimentation. Trois mois par an, les pèlerins qui arrivent à pied pourront être accueillis dans certains locaux de la dépendance gérée par les volontaires et les membres de la confrérie.

Le chemin vers Jérusalem est enraciné dans l’histoire de la Confrérie, fondée à Pérouse en 1981 par un groupe de pèlerins qui voulait maintenir le souvenir de leur pèlerinage à Saint Jacques, en récupérant la tradition d’une confrérie précédente présente dans la ville depuis le XIV siècle. Un rêve médiéval qui passionne et passe aussi par la Via della Costa en Ligurie, lien entre les chemins européens et la maison d’accueil de la rencontre de Compostelle.

« La Via della Costa est fondamentale parce que le développement des pèlerinages concerne Saint-Jacques, Rome et Jérusalem – a rappelé le Recteur – et donc la majeure partie des pèlerins doit y passer. D’autres peuvent le faire par le Montgenèvre mais la route la plus directe est celle della Costa qui unit la partie française, la Via Francigena et le chemin de Saint Jacques ».

Silivia Iuliano    

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Incontro compostellano in Liguria: riflessione sul futuro dei cammini

Seguire l’evoluzione dei cammini con uno sguardo rivolto alla Terra Santa. Il 15° incontro compostellano in Liguria che si è svolto a Genova Nervi lo scorso 25 e 26 febbraio, ha offerto un momento di riflessione su accoglienza, progetti e futuro dei pellegrinaggi.

 

L’incontro – spiega Paolo Caucci Von Saucken, rettore della Confraternita di San Jacopo di Compostella –  è stato utile per mettere a fuoco tutto quello che viene fatto. Il Cammino di Santiago cambia costantemente così come la Via Francigena e ogni anno dobbiamo ricalibrarci sull’evoluzione dei pellegrinaggi”.

Un’evoluzione che estende i confini e unisce le tre peregrinationes maiores: Santiago, Roma e Gerusalemme. L’attenzione della Confraternita si concentra, infatti, anche sulla promozione e l’accoglienza dei pellegrini in Terra Santa. A tal proposito, a settembre 2016 è stato inaugurato l’ospitale dei Santi Chiara e Giacomo nel complesso del monastero delle Clarisse a Gerusalemme.

Si tratta di un’iniziativa in fase di sperimentazione. Per tre mesi all’anno i pellegrini che arriveranno a piedi, potranno essere ospitati in alcuni locali della foresteria gestiti dai volontari e confratelli.

Il cammino verso Gerusalemme è radicato nella storia della Confraternita, fondata a Perugia nel 1981 da un gruppo di pellegrini che volevano mantenere il ricordo del loro pellegrinaggio a Santiago, recuperando la tradizione di una precedente confraternita presente in città fin dal Trecento. Un sogno medievale che appassiona e passa anche per la Via della Costa in Liguria, anello di congiunzione tra i cammini europei e casa di accoglienza dell’incontro compostellano.

“La via della Costa è fondamentale perché lo sviluppo dei pellegrinaggi è Santiago, Roma e Gerusalemme – ha ricordato in chiusura il Rettore – e quindi la maggior parte dei pellegrini deve passare da lì. Altri possono farlo dal Monginevro però la via più diretta è quella della Costa che unisce la parte francese, la via Francigena e il cammino di Santiago”.

Silvia Iuliano

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The sustainable mark of Tuscany

The two-days discussion meeting in San Miniato focused on this topic, with the purpose of putting institutions, associations and private operators online. The meeting has been organised by Toscana Promozione, Tuscany Region, Municipality of San Miniato, with the support of the European Association of the Vie Francigene and the media partner RadioFrancigena.

SAN MINIATO – Planning in progress and future perspectives. From the path to the accommodation, from UNESCO to the collaboration pact between the four groups of the 39 municipalities of Tuscany. An intense day of discussion and work with many speeches and great involvement.

After the welcome of the hosting town administration, Tuscany Region and the European Association of the Vie Francigene started the forum.

The assessor Stefano Ciuoffo opened the institutional speeches by reminding the audience of how the Via Francigena, now in a phase of great development, has become a touristic product based on experience. “Tuscany supports the Via Francigena because it represents a complementary and alternative source to mass tourism, bound to the cities of art. It is the Via Francigena of the little towns that helps us discover incredible stories and emergences along the almost 400 kilometres of the path: it is a new way of narrating the history of our territories”.

Enrico Conti, representative of IRPET’s Tourism, talked about the demographic development of the 38 “francigenous” municipalities, in order to analyse the impact of the itinerary on the territory that started from restrained levels of development. “From 2007 on, the presence along the Via Francigena and bordering areas grew considerably thanks to the significant increase of work in the cultural and performance branches, in addition to catering and accommodation.

Between 2009 and 2015 we can evaluate the presence of more or less 35000 people per year, whose number has been growing in the past triennium. Other numbers must be pointed out as well: 21.1 millions of GDP; 8.8 millions of investment; 388 units of workers. We still have to build the product of the Via Francigena, it is only upon this development that we will be able to increase the tourist flow bound to the path”.

Francesco Gazzetti, coordinator of the meeting, region councilman, underlined the importance to start a new phase, that must necessarily involve the private area, alongside the public one and the associations. “We are working on this aspect also inside the regional law dedicated to tourism, in order to begin also some considerations about accommodation on charitable contribution: the purpose is to get to a norm in the area. The association part has a fundamental role for the development of the Via. From this two-days meeting we want to obtain an agreement protocol with the associations working on the path, in order to reach various purposes: to have an idea of the state of the art and the forces available, to put initiatives online and to promote what is done by this important area”.

EAVF’s President Massimo Tedeschi reminded that Tuscany Region is a representative of an example for the development of the Francigena at a European level. “It is a region that counts almost 50 million people and that decided to invest on the itinerary, in order to enhance the tourist offer of the region itself”.

It has also been underlined the European aspect of the path as a fundamental element: the Via Francigena is the cultural itinerary of the Council of Europe and it follows its principles and morals: respect, democracy, tolerance and peace. And it is precisely the Program of the Cultural Itineraries of the Council of Europe that celebrates in 2017 its 30-years anniversary and this year, at the end of September, the Tuscany town of Lucca will host the Forum oriented to the 32 European cultural itineraries.

The Via Francigena is the history of a successful institution. What makes a path an example of success? continued Tedeschi – When harmony develops between institutions and associations, that is to say between pilgrims, who represent the soul of the Via Francigena, and the institutions, who represent the whole community. To this it must be added the scientific research component and the private operators.

EAVF is nowadays at the service of institutions, associations and the crossed territories. In the last year it has been launched the official guide (that will also be available in English from next week), the vademecum of the path, the abacus of the signage, the agreement with Trenitalia. The challenge that opens up is to make this path always more international.

Monica Barni, vice president of the Region, talked about the UNESCO candidacy of the Via Francigena. An ambitious project, that wants to give value to all the work that has been done until today, by identifying that the Via Francigena is representative of growth, exchange and comparison factors between people that come from different countries. The morals of the Council of Europe are an important element around which this candidacy will develop.

Integrated and participated planning, to which we are often not used to. We need to develop a new system of governance that invites us to think about management and sustainability of our sites, in terms of social, cultural and economic development.

We sign an agreement protocol between the 7 Italian regions to promote a method of integrated analysis and planning, in harmony and coherence with the principles of the Council of Europe, for the UNESCO candidacy of the Via Francigena. It starts a path in close collaboration with the European Association of the Vie Francigene, to work on the segment to nominate, the priorities of intervention, the procedures of dialogue with the territories and of management.

At the end of the meeting, the assessor Ciuoffo presented the partition project of the territory of the Via Francigena in Tuscany in four homogeneous areas. The purpose is to hold the municipalities responsible on planning, maintenance and accommodation of the path, thinking with a collaborative spirit that invites the local administrations to work with bordering municipalities in a sustainability perspective. The Via Francigena in Tuscany is structured even better through a collaboration agreement between the four groups of the 39 municipalities (the leader municipalities, from South to North: Siena, Fucecchio, Lucca, Pontremoli).

Afternoon dedicated to the project now in the game on the Via Francigena and the paths in Tuscany region. Alberto Peruzzini, Toscana Promozione, coordinated the meeting.

From “The Via Francigena on foot, bicycle, horse” to the project “Google trekker Francigena Tuscany”, presented by Diego Ciulli. Francesca Basanieri (mayor of Cortona, representative of Tuscany ANCO Tourism) presented “Wi-fi and accessibility along the paths”, while Mons. Andrea Magliavacca participated in the field of the “accommodation on the paths”.

Then, the “economic reality around the path: opportunities of the territory” with the participation of Giovanni Morozzo (Slow Travel Fest), Massimo Cimadoro (Abbadia Isola Hostel, Monteriggioni), Simona Polli (Sigeric cooperative of Villafranca in Lunigiana) and Luigi Lazzerini (Walden Travels).

At the end of the meeting, preview showing of the docufilm “Tuscany on the Francigena: stories, mysteries, curiosities of a Major Via”.

The second day, instead, there have been meetings of discussion on the path: from the cycling ways of the year of the Borghi, to the specialised guides to narrate the paths, to regional itineraries.

Finally, it has been stipulated the important signature of the protocol between 7 Italian regions (Aosta Valley, Piedmont, Lombardy, Emilia, Liguria, Tuscany and Lazio), in order to start the works bound to the candidacy of the Via Francigena to UNESCO World Heritage. A new challenge, a new opportunity of dialogue between institutions, associations and territories.

Luca Bruschi

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L’impronta sostenibile della Toscana. Il Forum sulla Via Francigena e cammini

E’ su questo tema che si è svolta la due giorni di confronto a San Miniato con l’obiettivo di mettere in rete istituzioni, associazioni e operatori privati. L’incontro è stato organizzato da Toscana Promozione, Regione Toscana, Comune di San Miniato, con il patrocinio dell’Associazione Europea delle Vie Francigene e RadioFrancigena media partner.SAN MINIATO – Progettualità in corso e prospettive future. Dal percorso all’accoglienza, dall’UNESCO al patto di collaborazione tra le quattro aggregazioni dei 39 comuni toscani. Una intensa giornata di confronto e lavoro che ha visto numerosi interventi ed una larga partecipazione.

Dopo il saluto dell’amministrazione comunale ospitante, Regione Toscana e Associazione Europea delle Vie Francigene hanno avviato il forum.

L’assessore Stefano Ciuoffo ha aperto gli interventi istituzionali ricordando come la Via Francigena stia diventando un prodotto turistico esperienziale, oggi in fase di grande crescita. “La Toscana sostiene la Via Francigena perché essa rappresenta una fonte complementare ed alternativa al turismo di massa, legato alle città d’arte. E’ la Via Francigena dei piccoli borghi che ci aiuta a scoprire storie ed emergenze straordinarie lungo quasi 400km: è un modo nuovo di raccontare la storia dei nostri territori”.

Enrico Conti, responsabile Turismo dell’IRPET, è intervenuto sull’evoluzione demografica dei 38 comuni “francigeni”, per analizzare l’impatto dell’itinerario in territori che partono da livelli di sviluppo contenuti. “Dal 2007 in avanti le presenze lungo la Via Francigena ed aree limitrofe crescono in modo considerevole grazie al sostanziale aumento di offerta ricettiva e domanda. La Via Francigena sta mostrando una buona capacità di creare lavoro in ambito del settore culture e spettacolo, oltre ristorazione ed ospitalità.

Tra il 2009 ed il 2015 possiamo calcolare circa 35.000 presenze annue, il cui numero è in aumento nell’ultimo triennio. Da segnalare altri numeri: PIL di 21,1 milioni; 8,8 milioni di investimento; 388 unità di lavoro. Oggi occorre ancora costruire il prodotto della Via Francigena, è solo su questo sviluppo che potremo aumentare i flussi turistici legati al cammino.”

Il coordinatore della sessione Francesco Gazzetti, consigliere regionale, ha sottolineato l’importanza di iniziare una nuova fase che deve necessariamente coinvolgere il settore privato, a fianco del pubblico e dell’associazionismo. “Su questo aspetto si sta lavorando anche all’interno della legge regionale dedicata al turismo al fine di avviare anche la riflessione sull’accoglienza a donativo: obiettivo è di arrivare ad una normativa nel settore. La componente dell’associazionismo ha un ruolo fondamentale per lo sviluppo della Via. Da questa due giorni si vuole lanciare la sfida di un protocollo d’intesa con le associazioni impegnate sul cammino per raggiungere diversi obiettivi: fotografare lo stato dell’arte e le forze a disposizione, mettere in rete le iniziative e valorizzare quanto viene fatto da questo importante settore.”

Il Presidente AEVF Massimo Tedeschi ha ricordato come la Regione Toscana rappresenti un esempio a livello europeo per lo sviluppo della Via Francigena. “Si tratta di una regione che conta quasi 50 milioni di presenze e che ha deciso di investire sull’itinerario per arricchire l’offerta turistica della regione.”

E’ stato evidenziato l’aspetto europeo del cammino come elemento fondamentale: Via Francigena è itinerario culturale del Consiglio d’Europa e ne segue principi e valori: rispetto, democrazia, tolleranza e pace. Proprio il Programma degli Itinerari Culturali del Consiglio d’Europa festeggia nel 2017 il trentesimo anniversario e quest’anno, a fine settembre, sarà la città di toscana Lucca ad ospitare il Forum rivolto ai 32 itinerari culturali europei.

La Via Francigena è la storia di una intuizione di successo. Cosa rende un cammino un caso di successo? ha continuato Tedeschi -Quando si crea un’armonia tra istituzioni e associazioni, cioè tra i pellegrini che rappresentano l’anima alla via Francigena e tra le istituzioni, che rappresentano tutta la comunità. Ad esso si deve aggiungere la componente della ricerca scientifica e quella degli operatori privati.

AEVF è oggi al servizio delle istituzioni, associazioni e dei territori attraversati. Nell’ultimo anno sono stati lanciati la guida ufficiale (la prossima settimana anche in inglese), il vademecum del percorso, l’abaco dei cartelli, l’accordo con Trenitalia. La sfida che si apre è quella di rendere questo cammino sempre più internazionale.

Monica Barni, vicepresidente della Regione, è intervenuta sulla candidatura UNESCO della Via Francigena. Un progetto ambizioso che vuole mettere a valore tutto il lavoro fino ad ora è stato svolto, riconoscendo che la Via Francigena rappresenta un fattore di crescita, scambio e confronto fra persone che provengono da Paesi diversi. I valori del Consiglio d’Europa sono un elemento importante intorno ai quali si svilupperà questa candidatura.

Progettazione integrata e partecipata alla quale spesso non siamo abituati. Occorre sviluppare un nuovo sistema di governance che ci invita a riflettere sulla gestione e sostenibilità dei nostri siti in termini di sviluppo sociale, culturale ed economico.

Firmiamo un protocollo d’intesa fra le 7 regioni italiane per promuovere un metodo di analisi e progettazione integrata, in sintonia e coerenza con i principi del Consiglio d’Europa, per la candidatura UNESCO della Via Francigena. Inizia un cammino in stretta collaborazione con l’Associazione Europea delle Vie Francigene per lavorare sulla tratta da candidare, le priorità di intervento, le modalità di dialogo con i territori e di gestione.

A fine sessione l’assessore Ciuoffo ha presentato il progetto che vede la suddivisione del territorio della Via Francigena in Toscana in quattro aree omogenee. Obiettivo è quello di responsabilizzano i comuni sulla progettazione, manutenzione e accoglienza, percorso, ragionando in uno spirito di collaborazione che invita le amministrazioni locali a lavorare con i comuni limitrofi in ottica di sostenibilità. La via Francigena toscana si struttura ancora meglio attraverso un patto di collaborazione tra le quattro aggregazioni dei 39 comuni (i comuni capofila, da sud a nord: Siena, Fucecchio, Lucca, Pontremoli).

Pomeriggio dedicato ai progetti oggi in campo sulla Via Francigena ed i cammini in regione Toscana. Ha coordinato la sessione Alberto Peruzzini di Toscana Promozione.
Dalla “Via Francigena a piedi, in bicicletta, a cavallo” al progetto “Google trekker Francigena Toscana”, presentato da Diego CiulliFrancesca Basanieri (Sindaco Cortona, Responsabile Turismo ANCO Toscana) ha presentato “Wi-fi e accessibilità lungo i cammini” mentre Mons. Andrea Migliavacca è intervenuto nel merito dell’”accoglienza sui cammini”.

Spazio poi alle “realtà economiche intorno al cammino: opportunità del territorio” con gli interventi di Giovanni Morozzo (Slow Travel Fest), Massimo Cimadoro (Ostello Abbadia Isola Monteriggioni), Simona Polli (Cooperativa Sigeric di Villafrancia in Lunigiana) e Luigi Lazzerini (Walden Viaggi).

A fine sessione proiezione in anteprima del Docufilm “La Toscana sulla Francigena: storie, misteri, curiosità di una Via Maggiore”

Il secondo giorno, invece, sessioni di confronto sui cammini: dalle ciclovie all’anno dei Borghi, dalle guide specializzate per raccontare i cammini agli itinerari regionali.
E’ stata infine stipulata l’importante firma del protocollo tra le sette regioni italiane Valle d’Aosta, Piemonte, Lombardia, Emilia, Liguria, Toscana e Lazio per avviare i lavori legati alla candidatura della Via Francigena a patrimonio UNESCO. Una nuova sfida, una nuova occasione di dialogo fra istituzioni, associazioni e territori. 

Luca Bruschi

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SESSA ARUNCA (Campania Region, Province of Caserta) – RUTI SAN PIETRO PLOT

New accommodation facility for pilgrims, surrounded by suggestive vineyards and olive groves of the Via Francigena in the South, located in Ruti di Lauro, Sessa Arunca (Caserta, Italy)

https://www.viefrancigene.org/it/resource/accomodation/4086/

http://www.tenutarutisanpietro.it

https://www.facebook.com/tenutarutisanpietro/

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Sessa Arunca (CE) – Tenuta Ruti San Pietro

Nuova struttura di accoglienza pellegrina immersa nei suggestivi vigneti ed oliveti della Via Francigena del sud in località Ruti di Lauro, Sessa Arunca (CE) 

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Via Francigena patrimonio UNESCO. Assessore Cappellini firma il protocollo a San Miniato

Milano, 02 mar 2017 – Sabato 4 marzo a San Miniato (PI) l’assessore Cristina Cappellini firmerà il protocollo per l’inizio dell’iter di candidatura della Via Francigena a patrimonio UNESCO. Procederanno alla sottoscrizione anche gli assessorati delle altre Regioni francigene coinvolte: Valle d’Aosta, Piemonte, Emilia Romagna, Liguria, Toscana e Lazio.

In Lombardia il percorso si estende per oltre 130 chilometri. L’itinerario parte da Palestro (PV), famosa per l’omonima battaglia e per la festa di Pentecoste, una tradizione piu’ che millenaria, si prosegue con Robbio, in Lomellina – la cui chiesa di San Valeriano fu utilizzata come hospitium per i pellegrini – per raggiungere Mortara, rinomata per la produzione di riso e del gustoso salame d’oca.

La tappa tocca Tromello per raggiungere poi Garlasco, le cui origini risalgono all’epoca neolitica, e che vanta l’esistenza di uno dei castelli piu’ importanti della zona di cui pero’, oggi, rimane solo il torrione.

PAVIA E LE SUE TORRI – Prima di arrivare a Pavia, capitale del regno longobardo, il percorso transita da Gropello Cairoli. Usciti da Pavia, citta’ delle cento torri, quasi a meta’ del tratto lombardo della Via Francigena, si giunge a Belgioioso e poi a San Giacomo della Cerreta, dove la chiesa dedicata all’omonimo santo costituiva un punto di ritrovo per molti pellegrini e a Chignolo Po, racchiusa tra il placido scorrere del fiume piu’ importante della Pianura Padana, il Po, e il tranquillo corso del Lambro. Antica stazione di posta lungo la Strada Regina che conduce a Piacenza, il centro e’ rinomato per la presenza del suo maestoso castello, considerato una ‘Versailles lombarda’, circondato da uno splendido parco in cui si trova il Tempio di Cerere, risalente al Settecento.

IL LODIGIANO – Attraversato il Lambro si entra in territorio Lodigiano, dove il percorso segue dapprima l’argine del fiume e poi le ‘arginelle’ delle risaie fino a Orio Litta. Da li’ si raggiunge il Guado di Sigerico (dal nome dell’arcicescovo di Canterbury che per primo attraverso’ la Francigena) e, con un traghetto, ci si sposta sull’altra sponda in localita’ Soprarivo da cui si raggiunge a Ponte Trebbia. Oltre il fiume una corsia ciclopedonale conduce alle porte di Piacenza.

 

Fonte: Lnews

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Fare rete nell’accoglienza: l’impegno per l’assistenza ai pellegrini

Fare rete nell’accoglienza: è questo lo spirito che muove le associazioni francesi impegnate nell’assistenza ai pellegrini diretti a Santiago e a Roma. Ne hanno parlato alcuni rappresentanti de “Les Amis des Chemins de Saint Jacques et de Rome PACA – Corse” al quindicesimo Incontro Compostellano in Liguria che si è svolto a Genova lo scorso 25 e 26 febbraio 2017.

L’associazione, fondata nel 1998, conta oggi più di 600 membri suddivisi nei sei dipartimenti della regione PACA, Provence-Alpes-Côte d’Azur ed è all’origine di due cammini che uniscono Arles all’Italia: la GR 653 D che ricalca l’antica strada romana della via Domizia (Monginevro – Arles) e la GR 653 A che ripercorre la via Aurelia (Mentone – Arles).

L’importante per i pellegrini che vanno da un posto all’altro è che ci sia continuità e che le persone disposte ad accoglierli si conoscano – racconta Marc Ugolini, responsabile per le relazioni franco italiane dell’associazione – Ci sono legami con altre associazioni ma la cosa importante per noi è lavorare il nostro campo per essere pronti per quelli che lo attraversano”.

Una volta in contatto con i responsabili dell’associazione, il pellegrino viene seguito passo passo lungo il percorso, entrando in una catena di accoglienza presso famiglie, parrocchie, monasteri che aderiscono all’associazione. Luoghi privati conosciuti solamente tra i volontari. Un’alternativa al sistema di accoglienza tradizionale in parte segnalato sul sito dell’associazione recentemente rinnovato, arricchito di dettagli e informazioni (www.compostelle-paca-corse.info).

Il sito offre dati pratici e chi vuole organizzare il viaggio trova informazioni dirette, ma abbiamo altri dati che sono trasmessi da persona a persona nell’accompagnamento dei pellegrini” conferma Marc Ugolini. La catena di accoglienza messa in pratica dall’associazione francese, è infatti un sistema che viaggia sul passa parola e consente di vivere a pieno lo spirito vero dell’accoglienza, tutelando chi apre le porte di casa all’ospite di giornata. I cammini francesi sono organizzati anche a livello di segnaletica. Le indicazioni sul tracciato, valide in entrambe le direzioni, sono state applicate in accordo con la Fédération Française de la Randonnée Pédestre.

Un linguaggio unico nell’accoglienza e nella segnaletica che diventa fondamentale nell’ottica di un percorso transnazionale come il cammino che unisce Santiago e Roma. Un’esigenza nel fare rete tra associazioni e volontari necessaria ancora di più nei tratti di confine, come quello del versante costiero con l’Italia, dove si spalanca la porta sulla Via della Costa e si incontra la via Francigena

Silvia Iuliano

 

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Créer un réseau d’accueil : l’engagement pour l’assistance des pèlerins

Créer un réseau d’accueil : ceci est l’esprit qui anime les associations françaises engagées dans l’assistance des pèlerins qui se dirigent vers Saint-Jacques et vers Rome. Certains représentants de «Les Amis des Chemins de Saint-Jacques et de Rome PACA –Corse » en ont parlé, au quinzième rendez-vous de Compostelle en Ligurie qui s’est déroulé à Gênes les 25-26 février derniers.

L’Association, fondée en 1998, compte aujourd’hui plus de 600 membres répartis dans les six départements  de la Région PACA, Provence-Alpes-Côte d’Azur et est à l’origine de deux chemins qui unissent Arles à l’Italie : le GR 653 D qui retrace l’antique route romaine de la Via Domizia (Montgenèvre – Arles) et le GR 653 A qui parcourt la Via Aurelia (Menton – Arles).

« L’importance pour les pèlerins qui vont d’un endroit à l’autre est qu’il y ait une continuité et que les personnes prêtes à les accueillir se connaissent – raconte Marc Ugolini, responsable des relations franco-italiennes de l’Association – Il y a des liens avec les autres associations, mais ce qui est important pour nous, c’est de travailler notre champ pour être prêts pour ceux qui le traverseront. »

Une fois en contact avec les responsables de l’Association, le pèlerin est suivi pas à pas le long du parcours, entrant dans une chaine d’accueil auprès des familles, des paroisses, des monastères qui adhèrent à l’Association. Des lieux privés connus seulement par les volontaires. Une alternative au système d’accueil traditionnel en partie signalé sur le site de l’Association récemment rénové, enrichi de détails et d’informations (www.compostelle-paca-corse.info).

« Le site offre des données pratiques et les personnes qui veulent organiser un voyage trouvent les informations directement, mais nous avons d’autres données qui sont transmises de personne à personne pour l’accompagnement des pèlerins » confirme Marc Ugolini. La chaine d’accueil mise en pratique par l’Association française est en effet un système qui se diffuse par le bouche à oreille et qui permet de vivre pleinement le véritable esprit de l’accueil, en protégeant ceux qui ouvrent leur porte à l’invité du jour. Les chemins français sont organisés aussi au niveau de la signalisation. Les indications sur le tracé, valables dans les deux directions, ont été appliquées en accord avec la Fédération Française de la Randonnée Pédestre

Un langage unique pour l’accueil et pour la signalisation qui devient fondamental dans l’optique d’un parcours transnational comme le chemin qui unit Saint-Jacques à Rome. Une exigence de créer un réseau entre les associations et les volontaires nécessaire plus encore dans les tronçons de frontière, comme celui du versant côtier avec l’Italie, où s’ouvre en grand la porte sur la Via della Costa et sur la Via Francigena.

Silvia Iuliano